« Vaccins » Covid : analyse du Dr Sherri Tenpenny


 « Vaccins » Covid : analyse du Dr Sherri Tenpenny

En décembre 2020, les premiers vaccins contre la maladie à coronavirus ont obtenu une Autorisation d’Utilisation d’Urgence [EUA – Emergency Use Authorization] par la Food and Drug Administration (FDA) et ont été recommandés par le Comité Consultatif sur les Pratiques d’Immunisation [ACIP – Advisory Committee on Immunization Practices]. L’administration du vaccin a commencé immédiatement. Étiez-vous en première ligne? J’espère que non, et j’espère aussi que personne dans vos proches ne s’est précipité pour recevoir cette injection.

Ce n’est pas «juste un autre vaccin» et ce n’est pas «juste comme se faire vacciner contre la grippe». Les ingrédients sont expérimentaux et l’ARNm est codé pour produire une protéine qui PEUT modifier vos gènes.

Ce que nous savons des vaccins COVID

Selon le Coronavirus Vaccine Tracker, au 26 décembre 2020, 83 vaccins étaient en phase 1, 2 ou 3 d’essai clinique humain et animal, dont 18 proches des étapes finales de test. Jamais auparavant autant d’entreprises n’avaient testé autant de vaccins différents en même temps, contre un virus qui n’a pas été isolé. Parmi ceux qui ont fait partie des essais, cinq vaccins sont maintenant utilisés à un stade précoce, avec trois vaccins approuvés pour une utilisation clinique : Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Voici ce que l’on nous en a dit jusqu’à présent :


Pfizer/BioNTech (BNT162b2)

Le vaccin de Pfizer – sous le nom provisoire de Comirnaty – a été approuvé pour les personnes de 16 ans et plus. Le vaccin à ARNm se compose de deux doses (30 mcg de solution dans 0,3 cc) administrées par voie intramusculaire à 21 jours d’intervalle. Le vaccin doit être conservé à -94F (-70C). L’ARNm est une molécule instable, c’est pourquoi elle doit être enveloppée dans des nanoparticules lipidiques pour le stockage et le transport. Mais la nanoparticule lipidique est extrêmement sensible à la température; raison pour laquelle le vaccin doit être stocké et transporté à des températures extrêmement basses.

Les ingrédients contenus dans le vaccin de Pfizer sont les suivants: (CDC, diapositive 20)

  • ARNm nucléosidique modifié codant pour la glycoprotéine de pointe virale (S) du SARS-CoV-2
  • Lipide: (4-hydroxybutyl) azanediyl) bis (hexane-6,1-diyl) bis (2-hexyldécanoate)
  • Lipide: 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine. [DSPC]
  • Lipide: 2 – [(polyéthylène glycol) -2000] -N, N-ditétra-décylacétamide
  • Lipide: cholestérol
  • chlorure de potassium
  • phosphate de potassium dihydrogéné
  • chlorure de sodium
  • hydrogénophosphate disodique dihydraté
  • saccharose

Notez qu’aucun des ingrédients n’est répertorié avec son dosage en milligrammes. Regardez les trois premiers excipients. Aucun d’eux n’a jamais été utilisé dans un vaccin précédemment approuvé. Ont-ils fait l’objet d’un test de toxicité synergique? Y a-t-il eu des tests de stabilité sur la décomposition de chaque ingrédient une fois réchauffé à température ambiante? Et qu’en est-il de toutes les réactions allergiques qui ont été signalées? L’un de ces produits chimiques a-t-il été testé par rapport à ses propriétés allergènes, chez l’homme ou même chez l’animal? Pfizer donne des instructions explicites sur la façon de mélanger et d’administrer cette injection. Consultez les instructions spécifiques ici.

Alors que Pfizer et la FDA ne savent absolument pas si ce vaccin préviendra l’infection ou même si les anticorps persisteront à long terme, Pfizer prévoit de fabriquer plus de 1,3 milliard de doses dans le monde d’ici fin 2021. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.


Moderna (ARNm-1273)

Tout comme le vaccin de Pfizer, le vaccin de Moderna utilise également l’ARNm comme véhicule pour induire la production d’anticorps à la protéine de pointe. Approuvé pour les personnes âgées de 18 ans et plus, le vaccin est administré en deux doses (100 mcg en injection intramusculaire de 0,5 cc) avec la deuxième dose administrée un mois (28 jours) plus tard, ou aussi près que possible de l’intervalle recommandé. Ce vaccin peut être conservé jusqu’à six mois à des températures de -4F (-20C).

Les ingrédients du vaccin Moderna sont maintenant répertoriés sur la fiche technique Moderna destinée aux fournisseurs: le vaccin Moderna COVID-19 est une suspension blanche à blanc cassé pour injection intramusculaire à injecter à 28 jours d’intervalle. Chaque dose de 0,5 mL de vaccin Moderna COVID-19 contient: (CDC, diapositive 20)

  • ARN messager (ARNm) codant pour la glycoprotéine Spike (S) stabilisée avant fusion du virus SARS-CoV-2, 100 mcg
    • IMPORTANT: Le brevet Moderna indique qu’un autre ARNm peut être présent qui code pour la protéine, la flagellineun adjuvant de vaccin non approuvé utilisé pour stimuler le récepteur pro-inflammatoire Toll-like 5 (TLR5)
  • Lipide: (4-hydroxybutyl) azanediyl) bis (hexane-6,1-diyl) bis (2-hexyldécanoate)
  • Lipide: 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine. [DSPC]
  • Lipide: 2 – [(polyéthylène glycol) -2000] -N, N-ditétra-décylacétamide
  • Lipide: cholestérol
  • trométhamine, 31 mg – c’est un médicament d’ordonnance utilisé pour traiter l’acidose métabolique
  • chlorhydrate de trométhamine, 18 mg
  • acide acétique, 0,42 mg
  • acétate de sodium, 0,12 mg
  • saccharose, 43,5 mg

Êtes-vous prêt à vous faire injecter quelque chose d’inconnu, jamais testé auparavant chez l’homme? Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.

Une section ignorée par les médias et non-mentionnée sur la fiche d’information du fournisseur Moderna est enfouie au plus profond du brevet Moderna. L’ARNm du vaccin Moderna a été codé pour transcrire une protéine, la flagelline, qui est utilisée pour améliorer la réponse cytokine des macrophages.

L’un ou l’autre des vaccins à ARNm COVID-19 actuellement autorisés peut être utilisé lorsqu’indiqué; l’ACIP n’indique pas de préférence de produit. Cependant, ces deux vaccins ne sont pas interchangeables et les deux doses de la série doivent être complétées avec le même produit. Cependant, si deux doses de produits vaccinaux à ARNm COVID-19 différents sont administrées par inadvertance, pas de souci! Des doses supplémentaires de l’un ou l’autre des produits ne sont pas recommandées.

N’oubliez pas que les deux vaccins sont complètement exempts de toute responsabilité en vertu de la loi PREP 2005. Donc, si l’infirmière vous donne le mauvais vaccin et que vous faites une réaction grave, voire si vous mourez, il n’y aura aucune répercussion pour l’infirmière et aucune compensation pour vous.

 

Un autre candidat: AstraZeneca (AZD1222) (ChAdOx1 nCoV-19)

Le candidat vaccin contre le coronavirus AZD1222 d’AstraZeneca, anciennement connu sous le nom de ChAdOx1 nCoV-19, est fabriqué à partir d’une version affaiblie d’un virus du rhume, d’où son nom d’origine. Bien qu’il puisse provoquer une infection chez les chimpanzés, le virus a été génétiquement modifié et ne peut donc pas se reproduire/se répliquer chez l’homme.

Le fabricant n’a publié qu’une liste sommaire d’ingrédients, sans mentionner la quantité en microgrammes ou en milligrammes de chaque produit chimique. Une injection de 0,5cm3 contient:

  • Vaccin COVID-19 (ChAdOx1-S * recombinant) 5 × 10 ^ 10 particules virales (vp)
    • *Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM)
  • Vecteur d’adénovirus chimpanzé recombinant déficient en réplication codant pour la glycoprotéine SARS CoV 2 Spike (S)
  • Cellule 293 de rein embryonnaire humain génétiquement modifié (HEK)
  • Liste des excipients – quantités inconnues:
    • L-histidine
    • Chlorhydrate de L-histidine monohydraté
    • Chlorure de magnésium hexahydraté
    • Polysorbate 80
    • Éthanol
    • Saccharose
    • Chlorure de sodium
    • Edétate disodique dihydraté
    • Eau pour préparations injectables

Ce candidat vaccin présente un intérêt car les études cliniques, réalisées en collaboration avec l’Université d’Oxford, ont été largement diffusées, le présentant comme le premier et le plus prometteur des vaccins. Cependant, en mai 2020, il a été signalé que tous les singes vaccinés traités avec le vaccin d’Oxford avaient été infectés lorsqu’ils ont été exposés au virus. Alors, pourquoi l’entreprise a-t-elle persévéré avec ce candidat vaccin, renommé AZD1222? Parce que même si le vaccin n’a pas protégé les animaux contre l’infection, il a atténué la maladie. Tâchez de bien repérer ce genre de logique, maintenant que plus de 80 vaccins COVID tentent de se frayer un chemin sur le marché des vaccins de plusieurs milliards de dollars.

Mais pour ne pas gaspiller toute cette recherche et cet argent, les chercheurs pensent maintenant que le vaccin sera efficace contre un nouveau variant viral émergeant en Grande-Bretagne. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.

Pour plus de détails sur tous les essais cliniques de vaccins en cours, accédez au Coronavirus Vaccine Tracker ici (abonnement requis à NYTimesOnline)

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Coronavirus Pt. 6: Les vaccins COVID – partie 2 – MIS À JOUR

SUJETS: Vaccin COVID-19preuves ignorées

Posté par: VaxxterAdmin2 28/12/2020

par le Dr Sherri Tenpenny, DO, AOBNMM, ABIHM

Partie 1 ici

Anticorps anti-spike induits par le vaccin: des ravages sur les poumons

Lorsque le vaccin contre le coronavirus est injecté, l’ARNm contient des «instructions» pour construire la protéine de pointe qui a été identifiée à la surface du virus SRAS-CoV2. Les enzymes de transcriptase inverse de la cellule sont mises en action, conduisant à la production en masse de la protéine de pointe (S), la protéine qui joue un rôle vital dans son infectivité.

Cependant, est-ce une bonne chose?

L’étude de 2019 de Liu, Li et al, «Les anticorps IgG anti-spike provoquent des lésions pulmonaires aiguës sévères en biaisant les réponses des macrophages lors d’une infection aiguë par le SRAS-CoV» vaut qu’on prenne le temps de la lire et de l’étudier.

Une étude a été menée pour étudier l’effet des anticorps anti-protéine de pointe induits par le vaccin sur la prévention des infections SRAS-CoV et pour examiner l’effet possible des anticorps anti-protéine de pointe sur le système immunitaire.

Ce que les chercheurs ont découvert est stupéfiant.

Seize singes macaques ont reçu deux injections; la moitié des animaux a reçu un virus de la vaccine modifié avec une protéine de pointe insérée (ADS-MVA) ou un vaccin témoin fabriqué avec un virus de la vaccine modifié sans l’antigène protéique de pointe (ADC-MVA). Trois singes sains non vaccinés ont été inclus comme témoins supplémentaires.

Les animaux ont été sacrifiés entre les semaines 9 et 21, après avoir reçu la deuxième injection; le vaccin contenant la protéine de pointe a induit des réponses d’anticorps très élevées à la protéine de pointe (anti-S-IgG). Bien que les anticorps aient réduit la charge virale dans les voies respiratoires supérieures, ils ont provoqué une lésion pulmonaire grave, renforcée par les anticorps. En fait, il y avait une corrélation directe et positive entre le taux d’anticorps sérique et le degré de lésion pulmonaire. Les tissus présentaient des signes de lésions alvéolaires diffuses [DAD – diffuse alveolar damage], avec divers degrés d’exsudat (liquide de type pus) et d’hémorragie (saignement).

De plus, les poumons étaient remplis de grandes quantités de macrophages (pus) qui avaient été affaiblis et inactivés.

Les macrophages sont un type de globules blancs qui engloutissent, digèrent et éliminent les microbes et les protéines étrangères grâce à un processus appelé phagocytose. Il existe deux principaux types de macrophages. Les cellules M1 tuent les pathogènes en sécrétant des médiateurs pro-inflammatoires et les cellules M2, qui ont une fonction anti-inflammatoire et régulent la cicatrisation des plaies. Les anticorps formés contre la protéine de pointe du SRAS-CoV se fixent à la surface des macrophages M2 et affaiblissent leur fonction, permettant aux macrophages M1 de libérer des quantités incontrôlées de cytokines. Au lieu de guérir et de réparer les tissus pulmonaires infectés, les anticorps anti-S-IgG étouffent les cellules M2 et favorisent l’inflammation causée par M1. Les résultats sont catastrophiques.

Un résumé des résultats de l’étude:

  • Nous présentons des preuves d’un rôle néfaste de l’anti-S-IgG (anticorps protéinique anti-spike) et d’une lésion pulmonaire aiguë lors d’une infection par le SRAS-CoV.
    • Les anticorps spécifiques aux protéines de pointe induits par le vaccin ont entraîné de graves lésions pulmonaires aiguës chez les macaques chinois infectés par le SRAS-CoV.
  • L’anticorps anti-S-IgG n’a pas réussi à prévenir l’infection des voies respiratoires inférieures du SRAS-CoV (pneumonie) et a amplifié (augmenté) l’infiltration et l’accumulation de macrophages M1 dans les poumons.
  • L’anti-S-IgG provoque une lésion pulmonaire aiguë sévère [ALI – acute lung injury] lorsque les poumons sont réinfectés et/ou réexposés aux coronavirus en supprimant l’action de résolution de l’inflammation des macrophages M2.
  • Les animaux décédés d’une infection par le SRAS-CoV présentaient une accumulation de macrophages M1 pro-inflammatoires et une absence de macrophages M2 cicatrisants dans leurs poumons.
  • L’examen histologique [du tissu pulmonaire des animaux sacrifiés] chez 6 des macaques vaccinés a révélé des lésions alvéolaires diffuses aiguës [NdT. diffuse alveolar damage – DAD] avec divers degrés de gravité. La plupart des macaques du groupe témoin ayant reçu le vaccin sans protéine de pointe ne présentaient qu’une inflammation pulmonaire mineure à modérée. (Remarque: les alvéoles sont les minuscules sacs aériens dans les poumons qui oxygènent le sang.)
  • En l’absence des anticorps anti-S-IgG, les macrophages M2 ont commencé à guérir les poumons dans les deux jours suivant l’infection.

Preuves ignorées

L’étude ci-dessus est très récente (2019), mais fait partie de NOMBREUSES AUTRES études publiées depuis 2002 qui documentent à quel point le(s) vaccin(s) COVID sera (sont) dommageable(s) une fois qu’une personne sera vaccinée puis réexposée aux coronavirus en circulation.

Mais ce n’est pas le seul problème causé par les vaccins COVID-19.

La plupart des virus respiratoires communs provoquent une infection en se liant à des récepteurs spécifiques à la surface des cellules de l’hôte. Pour bloquer cette fixation, des anticorps formés à partir d’infections antérieures ou par des vaccins se lient au virus circulant et le neutralisent. Cela arrête, ou du moins affaiblit, l’évolution vers une infection sévère.

Cependant, dans le cas de certains virus, les anticorps formés contre eux ne se lient que faiblement aux protéines de surface virales. Au lieu d’arrêter l’infection, ce mécanisme favorise leur invasion dans la cellule, augmentant l’infection au lieu de l’arrêter.

Anticorps: neutralisants vs non-neutralisants

Un anticorps neutralisant a la forme de la lettre Y. Les bras supérieurs sont appelés fragments Fab et la tige est appelée fragment Fc. Les fragments Fab se lient à un agent pathogène invasif. Le fragment Fac se lie ensuite à un récepteur Fac à la surface des globules blancs, tels que les macrophages, les lymphocytes, les cellules tueuses naturelles [NK – natural killer cells] et d’autres. Normalement, cela donne l’instruction aux globules blancs sanguins de libérer de petites quantités de produits chimiques inflammatoires pour détruire les microbes

Cependant, lorsque l’anticorps de protéine de pointe (anti-S-IgG) se lie au récepteur Fac à la surface de la cytomembrane, la «porte s’ouvre» et permet au complexe d’entrer dans les cellules hôtes. Et, si les fragments Fab de l’anticorps ne sont que faiblement liés à la surface de la protéine pathogène, l’anticorps agit comme un cheval de Troie. Le matériel protéique faiblement lié «s’échappe» de l’extrémité des fragments Fab, il fait sauter le système enzymatique de transcriptase inverse et commence à se répliquer, et augmente l’infection plutôt que de l’arrêter.

C’est le processus de fonctionnement de la facilitation de l’infection par des anticorps, ou ADE [antibody derived enhancement]. C’est l’équivalent d’un bouton « marche » sur un réplicateur qui n’aurait pas de bouton « arrêt ». Au fur et à mesure que l’ARNm se réplique, de plus en plus d’anticorps non-neutralisants sont produits, conduisant à des maladies auto-immunes accélérées, affectant principalement les poumons, le foie et les reins. L’ADE peut même jouer un rôle dans le développement du SDRA fulminant (syndrome de détresse respiratoire aiguë) après que les patients se soient rétablis du COVID.

L’ADE a été identifié pour plus de 40 types de virus, notamment le VIH, la dengue, le virus du Nil occidental et les coronavirus. Sept des 36 souches de coronavirus en circulation sont capables d’infecter les humains.

Chaque animal testé

Dans une étude de 2012 sur des souris, des furets, des hamsters et des singes Cynomolgus, utilisant diverses protéines de coronavirus et divers adjuvants, les chercheurs ont signalé une immunopathologie chez chaque animal qui avait été vacciné puis réexposé à un virus SRAS-CoV.

Les chercheurs ont clairement déclaré ce qui suit:

Cette expérience combinée est préoccupante pour les essais de vaccins contre le SRAS-CoV chez l’homme. Des essais cliniques ont été menés avec des vaccins contre le coronavirus du SRAS et ont démontré qu’ils induisent la production d’anticorps et qu’ils sont «sûrs». Cependant, la preuve de leur sécurité est mesurée sur une courte période d’observation. Le problème soulevé par le présent rapport concerne une réaction immunopathologique survenant chez des individus vaccinés lors d’une (ré)exposition au SRAS-CoV infectieux, base de la mise au point d’un vaccin contre le SRAS.

Les chercheurs ont conclu ce qui suit:

Les vaccins contre le SRAS-CoV ont tous induit une protection par anticorps contre l’infection par le SRAS-CoV. Cependant, l’exposition [virale] des souris ayant reçu un de ces vaccins, quel qu’il soit, a conduit à l’apparition d’une immunopathologie de type Th2 suggérant une hypersensibilité aux composants du SRAS-CoV. La prudence est de mise lors de l’application d’un vaccin contre le SRAS-CoV chez l’homme.

Questions sans réponse

Nous en savons si peu sur les vaccins COVID.

  • Le vaccin prévient-il l’infection ou atténue-t-il seulement les symptômes d’un patient?
  • Les empêche-t-il de propager le virus? Si oui, pourquoi avons-nous encore besoin de distanciation sociale et de masques?
  • Combien de temps durent les anticorps? En d’autres termes, pendant combien de temps devons-nous nous soucier de la réexposition virale?
  • Et si on a déjà une comorbidité telle qu’une maladie auto-immune?
  • Dans quelle mesure protège-t-il les personnes âgées, dont beaucoup ont reçu un vaccin contre la grippe?

Nous n’en sommes qu’à quelques semaines de cette campagne mondiale de vaccination de masse, et des milliers d’effets secondaires sont déjà signalés.

Toutes les preuves étant ignorées, est-ce qu’éviter une infection avec un taux de survie de 99% vaut le risque du vaccin?

Mon vote sera sans équivoque : non.

05-01-2021: MISE À JOUR: En moins d’un mois et avec 1 million de doses administrées, les dernières données du Ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) montrent qu’il y a maintenant eu 40.433 événements indésirables SIGNALÉS par rapport aux vaccinations Covid19 aux États-Unis … . ET IL Y EN A PEUT-ÊTRE DES MILLIERS D’AUTRES QUI NE SONT PAS SIGNALÉS.

Regardez la liste des effets secondaires: ICI

Le Dr Sherri Tenpenny est un médecin ostéopathe certifié par le conseil d’administration de Cleveland, Ohio. Le Dr Tenpenny est un médecin praticien et s’occupe des patients 2,5 jours par semaine. Le Dr Tenpenny est un expert de renommée internationale sur les problèmes associés aux vaccins. Des étudiants du monde entier sont devenus des parents confiants et des militants éloquents grâce à ses cours éducatifs en ligne, disponibles sur Courses4Mastery.com. En tant que «Voix pour la liberté de la santé», le Dr Tenpenny est un ardent défenseur du libre choix en matière de soins de santé, y compris le droit de refuser la vaccination.


Voilà comment le Dr Sherri Tenpenny est (encore) décrite par le Huffington Post en date du 20 avril 2021 :





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