Les tests nasaux sont inutiles et dangereux selon le Pédiatre Janzen

Publié originellement le 19 avril 2021 

pour 2020news.de

Le pédiatre Eugen Janzen, dont la chaîne YouTube a été supprimée, s'est adressé au public en lançant un avertissement ferme sur les autotests pour enfants à venir.

La mise en œuvre des tests nasaux désormais destinés à être utilisés de manière permanente est dangereuse pour les enfants, a déclaré M. Janzen. Ceux-ci infligent sans cesse des blessures à la muqueuse, si importante pour la défense contre les virus et les bactéries. Un examen microscopique montre que les bâtons de test ne sont pas conçus comme des brosses. En général, ils ne sont pas faits d'ouate mais de matériaux durs comme le carbone. La nanopathologiste Prof. Antonietta Gatti a réalisé une analyse détaillée à ce sujet, que 2020News publiera en temps voulu.

Les bâtonnets-tests doivent être insérés à environ 2 cm de profondeur dans le nez, puis tournés dans le nez pendant 15 secondes afin de toucher ou de gratter la muqueuse. Cela peut entraîner des blessures non négligeables, surtout dans le cas d'enfants inexpérimentés en matière d'autodiagnostic. Le test permanent provoque une irritation ou une inflammation permanente. La muqueuse n'est plus fermée. Les éraflures, les inflammations et éventuellement les petites tumeurs qui peuvent se former sur les surfaces de tissus maltraités à répétition constituent des portes d'entrée idéales pour les germes.

En principe, la plupart des infections se terminent par le nez, car les virus et les bactéries sont interceptés par une muqueuse intacte et éliminés par le système immunitaire. Si la muqueuse est endommagée, la probabilité de contracter une infection augmente considérablement. Cela s'applique également à la défense contre les réactions allergiques. Une muqueuse blessée présente une réaction histaminique significativement accrue. Dans le cas d'enfants souffrant d'allergies, on peut donc s'attendre à une augmentation des états allergiques, par exemple lors de l'inhalation de pollen, à la suite des blessures de l'essai.

M. Janzen rapporte que de plus en plus de parents le contactent maintenant, signalant que leurs enfants développent de l'anxiété et de la dépression après seulement un court laps de temps en ce qui concerne les tests. Ils ne veulent pas se faire du mal. Ils ne se soumettent au test que parce qu'ils veulent continuer l'école.

Le pédiatre vous indiquera d'autres méthodes pour prélever l'échantillon. Un coton-tige peut être inséré délicatement dans la narine, et le coton doux attirera même les sécrétions nasales, de sorte qu'aucun dommage ne peut être causé à la muqueuse nasale. Les enfants peuvent également souffler ou cracher sur une carte ou dans un mouchoir en papier.

Le pédiatre Janzen se dit déconcerté par le choix politique de la méthode de prélèvement invasive et dangereuse pour les muqueuses, alors qu'il existe des options beaucoup plus faciles à utiliser et non dangereuses pour les enfants.