Une demande de liberté d'information adressée à l'autorité australienne de réglementation des médicaments a révélé que celle-ci n'a jamais vu les données d'étude extrêmement limitées concernant le vaccin Pfizer/BioNTech, bien qu'elle l'ait approuvé d'urgence et jugé sûr de l'injecter dans les bras des Australiens.

La demande de liberté d'information (FOI) a été faite par un médecin faisant partie du groupe "Doctors for Covid Ethics", qui a récemment été censuré sur Twitter pour avoir cité un article de Daily Expose dans lequel nous confirmions que deux dénonciateurs de l'OMS avaient témoigné auprès du Dr Reiner Fuellmich de la commission d'enquête Corona.

Le médecin a écrit à la TGA (Therapeutic Good Administration), la version australienne de la MHRA britannique, en février 2021, en posant trois questions simples : - 1.

1 - La TGA a-t-elle demandé les données brutes à Pfizer ?

2 - L'un des comités chargés d'approuver le vaccin a-t-il examiné les données brutes et/ou en a-t-il discuté ?

3 - Quelles étaient les "études" mentionnées dans le document d'approbation concernant la tératogénicité (risque de dommage pour le fœtus) ?

Cette demande était motivée par des inquiétudes quant à la validité et à la vérifiabilité des données de Pfizer, compte tenu de son passé juridique, inquiétude également partagée par Peter Doshi dans le BMJ en février, ainsi que par les inquiétudes avérées concernant les données frauduleuses relatives au Covid-19, comme l'a montré le scandale du "Lancetgate" de juin 2020.

La TGA a d'abord tenté d'étouffer la demande de FOI en demandant une prolongation de 6 mois en raison de la quantité de travail nécessaire pour répondre de manière satisfaisante. Le médecin s'est plaint auprès du Bureau du Commissaire à l'information qui a demandé à la TGA de répondre avant le 26 mai, mais elle n'a toujours pas respecté ce délai.

Finalement, la TGA a répondu en produisant une étude unique fortement expurgée montrant que la seule enquête sur les effets sur le fœtus a été réalisée sur 44 rats sans aucune donnée à long terme sur la progéniture.

Leur réponse a également confirmé qu'ils n'avaient jamais vu ou demandé les données sur les patients à Pfizer et qu'ils acceptaient simplement le rapport de Pfizer sur leur étude comme un fait, malgré leurs antécédents avérés d'affirmations frauduleuses.



Cela signifie que lorsque le chef de la TGA John Skerritt a déclaré que "les preuves de sécurité sont assez complètes" le 6 février (ici), il mentait aux Australiens qui auraient supposé que la TGA avait effectivement examiné les données des patients elle-même.

La demande complète de liberté d'information et les réponses de la TGA peuvent être consultées ici.


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