Silence des grands médias : Les mesures de confinement n’ont pas d’impact sur la Covid-19 (selon des chercheurs de l'Université de Stanford)

Selon des chercheurs de l’université de Stanford, les mesures de confinement n'ont pas d'impact sur la Covid-19. Après avoir comparé les courbes épidémiques dans 8 pays ayant adopté des mesures autoritaires contre la Covid-19 (fermeture d’entreprises, couvre-feu, confinement) et 2 autres pays s’étant contentés de conseils à la population, ces derniers ont constaté qu'il n’y a pas de résultats significativement différents dans les deux groupes.

Les quatre chercheurs ont étudié les résultats en Allemagne, Espagne, États-Unis, France, Iran, Italie, Pays-Bas et au Royaume-Uni avec ceux de la Corée du Sud et de la Suède. (Étude à télécharger en PDF juste au-dessous)

Ils concluent :

« Bien que de petits avantages ne puissent être exclus, les décrets de confinement obligatoire à domicile et de fermeture des entreprises ne semblent pas avoir eu d’avantages substantiels sur la croissance des cas dans 8 pays aux premiers stades de la pandémie. Des réductions similaires de la croissance des cas peuvent être réalisables avec des changements de comportement résultant d’interventions moins restrictives. »
EMPIRICAL ASSESSMENT OF MANDATORY STAY-AT-HOME AND BUSINESS CLOSURE EFFECTS ON THE SPREAD OF COVID-19  
Eran Bendavid, Christopher Oh, Jay Bhattacharya, John P.A. Ioannidis, January 12, 2021.

 

L'université de Stanford 

L’université de Stanford est l’une des plus prestigieuses universités privées des Etats Unis et la plus sélective du monde. Elle est située au cœur de la Silicon Valley au sud de San Francisco. A l’année 2015, elle compte parmi ses professeurs chercheurs 20 prix Nobel.

D’après le classement mondial des universités QS (QS World University Rankings), l’université de Stanford est la seconde meilleure université du monde juste derrière le MIT mais devant Harvard (pareil selon le classement académique des universités mondiales par l'université Jiao Tong de Shanghai). Parmi les étudiants connus du grand public on compte notamment : l'inventeur du premier microprocesseur Intel, le père de l'internet, le fondateur de Dolby les PDG de Hewlett-Packard, Yahoo, Google, Linkedln, Instagram, Snapchat, de Nike, de Netflix ou encore de SpaceX et Tesla (Elon Musk aujourd’hui l’homme le plus riche du monde)

 

Qui sont les quatre chercheurs de l’étude : 'Évalutation empirique des effets de l'obligation de rester à la maison et de fermer des entreprises sur la propagation de ala COVID-19'?

L’étude a été mené par 4 grands chercheurs de la prestigieuse université (deuxième meilleure université de médecine du monde)

Eran Bendavid est médecin spécialiste des maladies infectieuses et professeur agrégé de médecine. Il est affilié à la Stanford Health Policy, au Center for Population Health Sciences, au Woods Institute for the Environment et à la division des maladies infectieuses. 

Il est rattaché au :

- Département de médecine, Université de Stanford Stanford, CA

- Centre pour la Politique de Santé (Center for Health Policy)

- Centre de recherche sur les soins primaires et des résultats (Center for Primary Care and Outcomes Research)

 

Christopher Oh est analyste de données de recherche en Soins Primaires et Santé de la Population. Il est rattaché au :

- Département de médecine, Université de Stanford Stanford, CA

 

Jay Bhattacharya est professeur de médecine à l'université de Stanford et chercheur associé au National Bureau of Economics Research. Il dirige le Centre de démographie et d'économie de la santé et du vieillissement de Stanford. Les recherches de M. Bhattacharya portent sur la santé et le bien-être des populations vulnérables, avec un accent particulier sur le rôle des programmes gouvernementaux, l'innovation biomédicale et l'économie. Les recherches récentes du Dr Bhattacharya portent sur l'épidémiologie de la COVID-19 ainsi que sur une évaluation des réponses politiques à l'épidémie. 

Ses intérêts de recherche plus larges englobent les implications du vieillissement de la population pour la santé future de la population et les dépenses médicales dans les pays développés, la mesure de la performance des médecins liée à la rémunération des médecins par les assureurs, et le rôle joué par l'innovation biomédicale sur la santé.  

Il a publié 135 articles dans des revues scientifiques à comité de lecture de premier plan dans les domaines de la médecine, de l'économie, de la politique de santé, de l'épidémiologie, des statistiques, du droit et de la santé publique, entre autres. Il est titulaire d'un doctorat en médecine et d'un doctorat en économie, tous deux obtenus à l'université de Stanford.

Il est rattaché au : 

 - Département de médecine, Université de Stanford Stanford, CA

 

John P. A. Ioannidis est un professeur de médecine et un chercheur de l'école de médecine et de l'école d'humanité et des sciences de l'Université Stanford. Il est surtout connu pour son article Why Most Published Research Findings Are False (Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux) publié en 2005 qui a particulièrement suscité la réflexion et le débat scientifique lié à la reproductibilité des études scientifiques. 

D'après le Thomson Reuters, John Ioannidis est l'un des scientifiques les plus cités, particulièrement dans le domaine de la médecine clinique et des sciences sociales.

Il a également dirigé le département d'hygiène et d'épidémiologie de l'école de médecine de l'Université d'Ioannina et été professeur adjoint à l'école de médecine de l'université Tufts.  Directeur du Stanford Prevention Research Center, il co-dirige, avec Steven N. Goodman, le Metrics (Meta-Research Innovation Center at Stanford, une institution qui vise à améliorer les processus de recherche scientifique.

Ioannidis est rattaché au :

- Département de médecine, Université de Stanford, Stanford, CA

- Département d'épidémiologie et de santé de la population, Université de Stanford, Stanford, CA

- Département des sciences des données biomédicales, Université de Stanford, Stanford, CA

- Département des statistiques, Université de Stanford, Stanford, CA

- Centre d'innovation de méta-recherche à Stanford (METRICS), Université de Stanford, Stanford, CA

Son article académique de 2005 Why Most Published Research Findings Are False (Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux) est l'article le plus téléchargé de la revue PLoS Medicine. Depuis 2005, ce texte, devenu une référence, a été consulté près de 1,2 million de fois en ligne. Il déclare avoir choisi cette revue scientifique la jugeant plus "réceptive" pour ce type de débat.

John Ioannidis a publié beaucoup d'autres évaluations empiriques influentes portant sur la validation et la réplication de différents types d'études dans divers domaines scientifiques, y compris la génétique, les essais cliniques, et les neurosciences. Ses travaux visaient également à identifier des solutions permettant d'optimiser les pratiques de recherche et à augmenter le rendement de résultats scientifiques validés et utiles.

Il a également inventé avec Thomas A. Trikalinos l'expression phénomène de Protée, du nom du dieu grec Protée qui pouvait rapidement changer d'apparence, pour "la survenue de résultats extrêmement contradictoires dans les premières études réalisées sur une même question de recherche". Il a apporté de nombreuses contributions dans le domaine de la méta-analyse (la méthode scientifique qui consiste à combiner des données provenant de plusieurs études sur une même question de recherche) et a été président de la Société pour la méthodologie en synthèses de recherche.

Durant la crise du Covid-19, il déclare en mars que « les données collectées jusqu'à présent sur le nombre de personnes infectées et l'évolution de l'épidémie ne sont absolument pas fiables », en référence aux modèles prédictifs qui prévoyaient des millions de morts aux États-Unis", qualifiant la gestion de crise de « fiasco de preuves unique dans un siècle ». De ce fait, il considère que les décisions politiques au niveau mondial comme la « distanciation sociale », la fermeture des écoles sont difficilement justifiables et peu efficaces.


Si le masque est efficace, pourquoi la distanciation physique? Si la distanciation physique est efficace, pourquoi le masque? Si les deux sont efficaces, pourquoi les confinements?

 

Quel est donc le véritable but des confinements?

Les confinements ne relèvent pas de la peur éventuelle d'une propagation du virus ou bien de l'incompétence de nos élus. Ils servent un but bien précis imposé par les élites ploutocratiques dont nos dirigeants ne sont que les marionnettes. Les confinements servent à la fois à détruire rapidement l'économie (pour imposer le Grand Reset) tout en détruisant psychologiquement le moral (donc la santé psychologique et implicitement la force de résister) des peuples (voir la Stratégie du choc de Naomie Klein) afin de nous faire accepter par la suite tout un tas de nouvelles mesures liberticides et antidémocratiques qui ne seraient jamais acceptées sans l'utilisation de la peur et du choc traumatique de cet épisode d'une ou deux années minimum de Covid19.  

La Covid 19 n'est pas du tout une pandémie mondiale dévastatrice (i n'y a pas plus de morts que les années passées) comme le dénoncent bon nombre d'épidémiologistes des maladies infectieuses et autres scientifiques spécialisés en santé publique (voir notamment la Déclaration de Great Barrington dont les médias n'ont là encore pas parlé) mais une expérience d'ingénierie sociale, de propagande et de contrôle mental des masses parfaitement menée servant à établir certains outils dont rêve l'ordre mondial (passeport sanitaire développé par Bill Gates et donc traçage de toute la population, thérapies géniques, transhumanisme, cryptomonnaie, revenus universel, fin de la monnaie fiduciaire et tous les autres projets du Grand Reset).

Ajoutons à cela deux graphiques fournis par la généticienne française Alexandra Henrion Caude qui montrent d'une part que la surmortalité en France n'a eu lieu précisément que pendant les deux confinements et d'autre part qu'il n'y a pas eu une surmortalité plus importante en 2020 par rapport au reste du XXIe siècle et de la fin du XXe siècle (même avec les milliers de fausses morts Covid rajoutées exprès pour faire gonfler les chiffres : à savoir des gens décédés non pas du SarsCov2 mais étant décédé d'autres choses tout en ayant en même temps été déclaré positif au test PCR (qui ferait environs 80% de faux positifs...) 

Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique du groupe pharmaceutique Pfizer pendant 16 ans déclara fin septembre que la "deuxième vague" a été truqué par des tests covid faussement positif.

Graphiques partagée par Alexandra Henrion Caude lors de son passage sur la chaine youtube TV Liberté (aujourd'hui supprimé par la multinationale)


Ajoutons que la Note du Conseil scientifique datant du 26 octobre 2020 (disponible sur le site du Ministère des Solidarités et de la santé) explique page 9 de son rapport qu'avec l'arrivée du froid mi septembre, les personnes sont restées plus en intérieur (diminution de visites de parcs de 26%) ce qui a entrainé un regain de l'épidémie!



Ajoutons à cela qu'Olivier Veran lui-même, avoua le 9 mars 2020 à la télévision que ce n'était pas le retour de la chaleur fin mars qui faisait partir la grippe mais le fait d'ouvrir les fenêtres et de ne plus être confiné dans un lieu où l'air n'est pas renouvelé. "C'est le confinement qui provoque la circulation du virus"

"Sur la fin de l’épidémie, hélas, il a l’air assez résistant à la chaleur et aux beaux jours ce virus, de ce qu’on en sait. Mais en réalité, vous savez ce qui fait que la grippe s’arrête au printemps ? Ce n’est pas la chaleur, c’est qu’en fait, au printemps, qu’est-ce qui se passe ? On ouvre les fenêtres, on ouvre les portes, on n’est plus confiné dans des lieux, on va dehors. Et donc, c’est le confinement qui provoque la circulation du virus".

Selon un debunckage pathétique du Monde (qui rappelons-le est en total conflit d'intérêt puisqu'il touche un beau pactole chaque année de la part de la Fondation Bill et Melinda Gates, qui de manière surpranationale, hors de cadre légitime et démocratique, pilote tout le déroulement et les mesures qui doivent être prises à l'échelle mondiale)

 

"Olivier Véran ne parlait pas du confinement, tel qu’il est appliqué aujourd’hui. Il évoquait le confinement de plusieurs individus rassemblés dans des lieux publics (stades, salles de concert, festival, etc.) susceptibles de propager le virus. Ainsi, le gouvernement avait dans un premier temps limité ces rassemblements à mille personnes". 

Tentative ridicule et deséspérée de faire croire aux français qu'il y a des différences dans les types de confinements alors que ce n'est pas du tout le cas. N'importe quel lieu clos et non ventilé (que ce soit dans votre voiture, chez vous, dans une salle de sport ou une salle de concert) augmente les risques de la propagation du virus. Rappelez-vous la note du Conseil Scientifique du 26 octobre 2020 partagée plus haut, qui elle-même faisait le constat (page 9 de son rapport) que le regain de l'épidémie a eu lieu lorsque les français se sont reconfinés chez eux!

 

Le Monde : l'agent officiel de propagande disruptive sur Bill Gates :

Observez comment ce journal désinforme et défend constamment l'un de ses plus gros donateurs.

- Non, Bill Gates ne veut pas utiliser les vaccins pour faire baisser la population (Le Monde – 16 janvier 2020)

- Coronavirus : Bill Gates ciblé par des rumeurs et infox complotistes (Le Monde – 05 février 2020)

- La fondation Gates a-t-elle vraiment financé « le groupe qui détient le brevet » du coronavirus ? (Le Monde – 06 février 2020)

- Bill Gates a-t-il dit que les vaccins sont « l’une des clés de la réduction des niveaux de population » ? (Le Monde – 06 février 2020)

- Coronavirus : la fondation Gates a-t-elle organisé une « simulation » de l’épidémie, à la fin de 2019 ? (Le Monde – 06 février 2020)

- Bill Gates : « Pour une approche globale de la lutte contre le Covid-19 » (Le Monde – 12 avril 2020)

- Coronavirus : comment le milliardaire américain Bill Gates cristallise la haine des complotistes  (Le Monde - 23 mai 202)

- Les thèses conspirationnistes anti-Bill Gates résonnent puissamment en Afrique (Le Monde - 29 mai 2020)

- Il aurait financé la pandémie, planifié la vaccination... Ce que vous avez lu sur Bill Gates est-il vrai ? (Le Monde - 24 juin 2020)


"Sommes-nous en droit de nous étonner, voir de nous inquiéter, quand on connait l’intention déclarée et assumée de Bill Gates de vacciner 7 milliards d’humains contre le Coronavirus, et la propension du quotidien Le Monde à offrir des tribunes au fondateur de Microsoft, ou à simplement prendre sa défense contre les “complotistes"

covidinfos.net





Comme énième preuve que les confinements ne stoppent en rien l'épidémie de Covid19, ajoutons maintenant l'étude menée par des marins-pompiers de Marseille. En analysant avec l'IHU de Marseille les eaux usées de la ville, les marins-pompiers dirigeant la cellule Comete (Covid Marseille environnemental testing expertise), ont pu détecter le virus « six jours avant les premiers symptômes physiques » et anticiper les évolutions de l’épidémie à plus grande échelle.  Leur conclusion, ni le confinement, ni le couvre feu ne sont responsables de la baisse de l'intensité de l'épidémie. L'étude des eux usées a montré une diminution du virus dès le 17 octobre, c'est à dire 11 jours avant le second confinement qui a commencé le 28 octobre 2020. La raison de la diminution de l'épidémie serait donc due à une évolution naturelle, saisionniere de la maladie. Ce constat a même été fait par une journaliste de LCI le 18 novembre. 

Bernard La Scola, professeur des universités, praticien hospitalier, responsable du parcours maladies infectieuses et microbiote à l’IHU de Marseille présenta en détail l'analyse des marins-pompiers  sur Sud Radio le 26 novembre 2020 en précisant que ce fut la même chose en Ile-de-France où la baisse du virus s'est amorcé dès le 17 octobre soit 11 jours avant le second confinement. La baisse du virus et donc le recul de l'épidémie ne sont donc pas corrélés aux couvres feux et aux confinements. La même observation avait déjà été fait avec le premier confinement. Il avait été en effet constaté à Paris que le virus avait commencé à baisser 24 jours après, ce qui est beaucoup trop long ; si le confinement et la diminution de la charge du virus (observé dans les eaux usées ) étaient liés, on aurait dû observer une diminution sous une dizaine de jours. Pour le second confinement, la propagation du virus a carrément diminué avant... Les confinements d'un point de vue sanitaire ne sont donc pas justifiés, les imposer à la population à en revanche un but politique et psychologique. Les confinements ou lock-down mondiaux comme moyen de contrôle des populations ont d'ailleurs été pensé par la Fondation Rockfeller (encore eux) dans une étude de 2010 intitulée : Scenarios for the Future of Technology and International Development)

 

 

Exemples du jour (dimanche 24 janvier 2021) de manipulations psychologiques, de conditionnement mental et de stimulus disruptifs instaurés par les médias :

Ingéniérie sociale instaurée en tandem par les grands médias de masse et les gouvernements pour causer la peur, plus exactement de la sidération, qui elle-même immobilisera les gens et les empêcheront de réfléchir et d'agir.


"L'une des principales techniques pour briser le moral, à travers une stratégie de terreur, consiste exactement en cette tactique : rendez flou la position et les attentes de la personnes. De plus, rendez la situation encore imprécise avec de fréquentes hésitations entre des mesures disciplinaires sévères et la promesse de bons traitements, accompagnées de nouvelles contradictoires. Ainsi l'individu ne saura pas si un plan particulier le conduira ou l'éloignera de son but. Dans ces conditions, même les individus qui ont des objectifs précis et qui sont prêts à prendre des risques seront paralysés par le grand conflit interne sur ce qu'il faut faire."

Time Perspective and Morale, ouvrage écrit par le psychologue et grand manipulateur mental Kurt Lewin dans une publication privée pour le Club de Rome (un des groupes de réflexion mondialiste contrôlant le monde) servant à expliquer comment briser le moral de nations ou de leaders.

 

"Organiser le chaos : La manipulation consciente et intelligente des actions et des opinions des masses est un élément important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société, constituent un gouvernement invisible qui est le vrai pouvoir dans notre pays. Nous sommes gouvernés, nos esprits sont formés, nos goûts éduqués, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes, dont nous n'avons jamais entendu parler."

 Extrait du livre Propaganda (1928) 

par Edward Bernays, manipulateur mental des masses de génie, le plus grand propagandiste du XXe siècle et inventeur des relations publiques 

 

“La propagande ne cessera jamais d’exister. Les esprits intelligents doivent comprendre qu’elle leur offre l’outil moderne dont ils doivent se saisir à des fins productives, pour créer de l’ordre à partir du chaos.” 


Edward Bernays, Propaganda (1928)

 

"La plupart des hommes sont incapables de se former une opinion personnelle mais le groupe social auquel ils appartiennent leur en fournit de toutes faites."

Gustave LeBon, Psychologie des Foules (1895)

(ouvrage notamment étudié par Edward Bernays)




Informations complémentaires : 

 

Livres ou études à lire pour comprendre l'ingéniérie sociale mis en place par les élites

Pour comprendre comment les élites nous manipulent à l'échelle mondiale en jouant avec nos émotions, je vous recommande de lire les ouvrages de penseurs de cette même élite, des esprits brillants mais machiavéliques ayant contribué à donner à leur clan les outils de contrôle mental qu'ils utilisent aujourd'hui sur l'ensemble des peuples :

- Public Opinion (1922) de Walter Lippman, auteur du terme "guerre froide" et de l'expression "fabrique du consentement". 

 

Deux ouvrages d'Edward Bernays :  

- Crystallizing Public Opinion (1923) 

- Propaganda (1928)  (consulter ici)


- The Open Conspiracy (1931) d'Aldous Huxley ; en français : La Conspiration au grand jour

- Brave New World (1931) d'Aldous Huxley ;  en français : Le Meilleur des Mondes 

- The New World Order (1939) ; en français : Le Nouvel Ordre Mondial

 

- Time Perspective and Moral de Kurt Lewin  (Ouvrage impossible à trouver sans l'acheter. Ecrit spécialement pour le Club de Rome)

 

- L'expérience psychologique de Solomon Asch (1951) sur le pouvoir du conformisme

vidéo de l'expérience de Asch ici

 

- L'expérience psychologique de Stanley Milgram (1963) : étude analysant le processus et le degrès d'obeissance et de soumission des individus à une autorité qu'ils jugent légitime

vidéos sur l'expérience de Milgram ici et ici


Les ouvrages suivant n'ont pas été écrit par des personnes de l'élite mais décrivent parfaitement bon nombre de choses que nous vivons aujourd'hui :

1984 de George Orwell qui écrivit son livre du point de vue des opprimés là où Aldoux Huxley son ancien professeur de français au lycée en 1917 écrivit Le Meilleur des Mondes du point de vue de l'élite dominante (et eugéniste). Orwell venait du peuple, il a partagé sa condition laborieuse pendant de nombreuses années et son désir était de sauver le peuple de la misère (qu'il a vu de ses yeux), Huxley lui provenait d'une des familles faisant partie de l'élite britannique et ne souhaitait qu'une chose contrôler le peuple. Huxley tenta d'ailleurs de faire rentrer Orwell à la Société Fabienne (un des nombreux clubs de réflexions et décisions qui dans l'ombre dirige le monde) et ce dernier, lorsqu'il comprit pourquoi ces intellectuels nobles et raffinés se rassemblaient en secret, s’enfuit horrifié. C'est peu de temps après que ce dernier écrivit 1984

Les deux écrivains britanniques ont décrit dans leur ouvrage respectif un monde cauchemardesque assez similaire, la grande différence entre les deux hommes est que Orwell dénonçait les totalitarismes là où le visionnaire et méprisable Huxley rêvait de voir sa classe dominer le monde. Comme son autre collègue visionnaire HG Wells, Huxley mit son imagination au profit de sa classe et de son groupe d'oligarques et de ploutocrates pour imaginer des moyens "raffinés" de contrôle des populations.


- La Psychologie des Foules (1895) de Gustave LeBon (explication ici, le livre en pdf ici)

 

- La Fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie (1988) par Noam Chomsky et Edward S. Herman


- La Stratégie du choc : la montée d'un capitalisme du désastre (2007) par Naomi Klein 

(documentaire ici, vidéo intéressante d'un youtubeur sur le même sujet et en lien avec la Covid19 ici)  

 

- Gouverner par le chaos (2010) de Lucien Cerise qui en parle lui-même ici




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