Un obstétricien de Miami de 56 ans "en très bonne santé" meurt après s'être fait injecter le vaccin expérimental COVID de Pfizer


Gregory Michael MD, un obstétricien qui avait son bureau au Mount Sinai Medical Center à Miami Beach. Photo provenant de la page Facebook de sa femme.



par Brian Shilhavy

Editor, Health Impact News


Le vaccin expérimental COVID de Pfizer a de nouveau coûté la vie d'un autre professionnel de la santé et on ne peut que se demander quel est le nombre réel de victimes parmi les professionnels de la santé depuis que le CDC a cessé de signaler les effets indésirables graves le 22 décembre 2020.

Gregory Michael MD, un obstétricien de 56 ans en très bonne santé qui avait son cabinet au Mount Sinai Medical Center à Miami Beach, est mort après s'être fait injecter le vaccin expérimental COVID de Pfizer, selon un post de sa femme sur Facebook.

L'amour de ma vie, mon mari Gregory Michael MD, un obstétricien qui avait son cabinet dans le centre médical Mount Sinai à Miami Beach, est mort avant-hier à cause d'une forte réaction au vaccin COVID.

C'était un homme de 56 ans en très bonne santé, aimé par tous les membres de la communauté, qui a mis au monde des centaines de bébés en bonne santé et a travaillé sans relâche pendant toute la durée de la pandémie.

Il a été vacciné avec le vaccin Pfizer au MSMC le 18 décembre. Trois jours plus tard, il a vu une forte pétéchie (petites taches cutanée de couleur rouge à violacée ne s'effaçant pas sous la pression) sur ses pieds et ses mains, ce qui l'a incité à se rendre aux urgences du MSMC. Le CBC qui a été effectué à son arrivée a montré que son taux de plaquettes était de 0 (un taux de plaquettes normal varie de 150 000 à 450 000 plaquettes par microlitre de sang).

Il a été admis dans l'USI avec un diagnostic de PTI aigu* causé par une réaction au vaccin COVID. Une équipe de médecins experts a essayé pendant deux semaines d'augmenter son taux de plaquettes, mais en vain. Des experts de tout le pays ont été impliqués dans ses soins.

Quoi qu'ils aient fait, le nombre de plaquettes a refusé d'augmenter. Il était conscient et énergique tout au long du processus mais deux jours avant une opération de dernier recours, il a eu une attaque hémorragique causée par le manque de plaquettes qui lui a coûté la vie en quelques minutes.

Il était partisan d'un vaccin, c'est pourquoi il l'a eu lui-même.

Je pense que les gens doivent être conscients que des effets secondaires peuvent se produire, que ce n'est pas bon pour tout le monde et que dans ce cas, cela a détruit une belle vie, une famille parfaite, et a affecté tant de personnes dans la communauté.

Ne laissez pas sa mort être en vain, sauvez d'autres vies en faisant de cette information une nouvelle.


Heureusement, j'ai reçu un tuyau sur cette histoire d'un ami médecin, et j'ai pu l'extraire de Facebook avant qu'ils ne l'interdisent.

Il sera intéressant de voir si au moins les médias locaux de Miami couvriront cette histoire, puisque sa femme Heidi déclare que sa mort "a touché tant de personnes dans la communauté".


MISE À JOUR : Après avoir publié cette histoire dans la nuit du 6 janvier, j'ai fait une recherche sur Google News et j'ai trouvé qu'un média d'entreprise (Daily Mail du Royaume-Uni) avait publié l'histoire 2 heures avant nous. Depuis lors, Heidi est allée dans d'autres médias (USA Today, Sputnik, etc.) pour partager son histoire sur la perte de son mari.

Veuillez prier pour elle, et priez pour que d'autres personnes comme elle, qui savent ce qui se passe réellement avec ces vaccins expérimentaux COVID, rendent également public ce reportage.


Informations complémentaires

Qu’est-ce que le purpura thrombopénique immunologique ?

Le purpura thrombopénique immunologique ou « PTI » une maladie bénigne du sang, ce n’est donc ni une leucémie ni un cancer. Il se traduit par une baisse anormale du taux de plaquettes. Il s’agit d’une maladie auto-immune au cours de laquelle le système immunitaire du patient fonctionne de manière trop importante. Nous fabriquons tous des anticorps qui nous permettent de nous défendre contre les infections. Au cours du PTI, un dérèglement du système immunitaire aboutit à la production d’anticorps dirigés contre les propres plaquettes du malade et qui entrainent leur destruction. Les plaquettes, qui sont avec les globules rouges et les globules blancs un des composants essentiels du sang, jouent un rôle très important dans la coagulation du sang. Leur rôle est donc d’éviter la survenue d’hémorragie. Le taux de plaquettes est normalement compris chez l’adulte entre 150.000 et 400.000/mm3. Au cours du PTI, le taux de plaquettes peut baisser (la baisse des plaquettes s’appelle une « thrombopénie »), de façon plus ou moins rapide et plus ou moins importante jusqu’à moins de 10.000/mm3, exposant ainsi le patient à la survenue d’hémorragie.

Combien de personnes en sont atteintes et qui peut être atteint ?

Il s’agit d’une maladie orpheline dont l’incidence est estimée entre 5 et 10 pour 100 000 habitants et par an. Chaque année, environ 4000 patients sont hospitalisés en France pour un PTI et il s’agit d’enfant pour 300 à 500 d’entre eux. La maladie peut toucher toutes les tranches d’âge. Il existe une nette prédominance féminine lorsque la maladie atteint un adulte jeune (3 femmes pour un homme) mais après l’âge de 50 ans, il existe au contraire une légère prédominance masculine.

Quelle est son évolution ?

Chez l’enfant, la maladie guérit dans 60 à 70% des cas en quelques semaines ou mois. Par contre chez l’adulte, elle devient chronique, c’est-à-dire se prolongeant au-delà de 12 mois, dans 2/3 des cas. En l’absence de traitement, l’évolution est ensuite imprévisible avec des périodes possibles de rémissions ou de rechutes.

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