La véritable pandémie - Covid-19 ou oxyde de graphène ? Un nanomatériau toxique trouvé dans les vaccins et masques Covid

Source : Daily Expose 
 
 
En octobre 2013, l'Union européenne a lancé deux projets phares : le Human Brain Project (HBP) ; et le Graphene Flagship (GF).
 



Le Human Brain Project (HBP) vise à fournir aux chercheurs du monde entier des outils de technologies de l'information et de la communication et des modèles mathématiques pour le partage et l'analyse de grandes données sur le cerveau.

Le Graphene Flagship (GF) vise à faire de l'Europe la "vallée du graphène" du monde. Au total, l'Europe investira un milliard d'euros dans le GF dans le cadre d'une initiative décennale visant à faire sortir l'innovation en matière de graphène du laboratoire pour la mettre au service des applications commerciales. 
 
Cependant, à plus de la moitié de son cycle de financement de 10 ans, la commercialisation du graphène s'avérait être un défi.  Ainsi, en 2019, pour aider le graphène à percer sur les marchés commerciaux, un projet - Graphene & 2D Materials EUREKA Cluster - a sollicité un financement de l'UE pour coordonner l'innovation en nanotechnologie.  
 
Le GF finance également des projets dits "Spearhead". Six projets Spearhead sont arrivés à la fin de leur phase de recherche et de développement. L'un d'eux, la photonique du graphène pour l'ère de la 5G, a été jugé "bien placé pour développer cette technologie avec succès". De nouveaux projets Spearhead ont été lancés, onze d'entre eux, qui ont commencé leurs travaux en avril 2020. L'un de ces onze projets est le projet GRAPHIL : purifier l'eau grâce à la filtration par le graphène.
 
Le graphène est un nanomatériau constitué d'une seule couche d'atomes de carbone.  Il est léger, transparent, flexible, incroyablement solide, excellent conducteur de chaleur et d'électricité et possède d'intéressantes capacités d'absorption de la lumière. Une autre de ses caractéristiques est qu'il est hautement intégratif avec les cellules neuronales du cerveau, ce qui donne une idée de la manière dont le RAP et le GF européens pourraient converger. 
 
En suivant le top 10 des applications du graphène au fil des années, on peut voir comment la "médecine" devient l'application la plus populaire du graphène en 2020, classée par le nombre de messages écrits.  En commençant par 2015 où la médecine était 4ème, 2016, 3ème, 2018, 3ème, 2019, 2ème, et enfin 2020, 1ère sur la liste. Covid-19 est cité comme la raison évidente pour laquelle l'utilisation du graphène en médecine était la discussion la plus populaire sur le site Graphene-info.
 
Le graphène est-il sûr? (traduit ici) La réponse courte est non.  Certains masques de protection contiennent du graphène et, en avril, les autorités sanitaires canadiennes ont lancé un rappel des masques contenant du graphène ou du graphène de biomasse. Depuis, la Belgique a trouvé des masques contaminés par le graphène et les hôpitaux français ont suspendu l'utilisation de masques contenant du graphène.
 
 
 
Il n'est pas surprenant que ce qu'un pays trouve dans les masques faciaux soit également trouvé par d'autres pays - 85 % des masques faciaux utilisés dans le monde proviennent de Chine.  La seule surprise est peut-être de savoir pourquoi TOUS les pays ne vérifient pas la présence de produits chimiques toxiques dans les masques et n'interdisent pas leur utilisation dans TOUS les environnements.
 
Aujourd'hui, selon les résultats préliminaires d'une étude menée par l'Université d'Almería en Espagne, du graphène a été trouvé dans les "vaccins" Covid-19. En examinant le contenu d'un flacon Pfizer / BioNTech, les chercheurs ont découvert qu'il y a de l'ARNm, mais que l'oxyde de graphène représente entre 98 % et 99 % de son contenu : Ce n'est pas un vaccin mais une dose d'oxyde de graphène pur dans la veine". 
 
Se référant à cette étude, le Dr John B. commente sur son twitter -
 
"Résultats d'analyse inquiétants du Prof. Dr Pablo Campra Madrid ... Détection d'oxyde de graphène dans le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 (Comirnaty)."  
 
Le fil twitter du Dr John continue avec des images du rapport du Dr Campra, puis se termine par : "Il y a un besoin urgent de reproduire cette analyse! Les nanomatériaux de la famille du graphène (GFN), y compris l'oxyde de graphène et l'oxyde de graphène réduit, sont toxiques."
 
Image montrant le contenu en graphène du vaccin Covid-19

 
Selon une équipe de chercheurs espagnols, La Quinta Columna, les symptômes de l'empoisonnement à l'oxyde de graphène sont les suivants : pneumonies bilatérales ; thrombogénicité ; caillots sanguins ; syndrome post-inflammatoire ou inflammations systémiques / multi-organes ; altération du système immunitaire ; et, finalement effondrement du système immunitaire et tempête de cytokines.
 
Lorsqu'il est inhalé, le graphène provoque une inflammation des muqueuses et une possible perte du goût et de l'odorat. Cela vous semble familier ?
 
Empoisonnement au graphène.  Midazolam.  Nous devons nous demander quelles autres causes non virales la maladie connue sous le nom de CoVID-19 couvre/
 
La Quinta Columna a fait une déclaration vidéo sur ce que l'étude de la fiole Pfizer a trouvé et ses implications, regardez ICI (transcription ICI.)
 
Un autre effet du graphène est le magnétisme. Des personnes ont remarqué qu'elles devenaient magnétiques après avoir reçu des injections de CoVID-19. En dessous de zéro, les nanoparticules de graphène ne sont pas magnétiques, mais elles le deviennent à la température du corps. 
 
La Quinta Columna affirme qu'avant 2020, les gens avaient déjà été magnétisés par le graphène dans les chemtrails et les vaccins contre la grippe. Et maintenant, les gens sont magnétisés par le graphène dans les masques faciaux, les tampons de test Covid et les injections Covid.
 
Le graphène provoque un phénomène magnétique d'une part, mais d'autre part, il peut transformer le cerveau des personnes inoculées en émetteurs et récepteurs d'informations.
 
Une fois intégrées aux cellules neuronales, les nanoparticules d'oxyde de graphène agissent comme des nanobiocapteurs qui ont deux fonctions, à savoir : recueillir les signaux électriques de nos impulsions et de nos pensées ou cartographie cérébrale ; et neuromoduler nos comportements, nos émotions et nos sentiments.
 
Cela ressemble à de la science-fiction mais, comme mentionné au début de cet article, il semble y avoir une convergence des deux projets phares de l'Europe : HBF et GF. Nos gouvernements, leurs conseillers et les médias traditionnels essaient-ils de devenir les voix dans nos têtes ?
 
Il y a de bonnes nouvelles. Le graphène peut être éliminé du corps de manière naturelle.  Une enzyme présente dans notre sang, la myéloperoxydase, dégrade l'oxyde de graphène. 
 
L'alcool (éthanol) ou le tabac (nicotine), par exemple, peuvent contribuer à augmenter cette enzyme - non pas que cela doive être pris comme un encouragement à consommer l'un ou l'autre mais plutôt pour inspirer quelques recherches saines pour aider à la lutte contre cette pandémie de graphène. 
 

 

 

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