Des chercheurs espagnols découvrent que les vaccins Covid-19 contiennent des niveaux TOXIQUES d'oxyde de graphène
Source : Daily Expose
Une équipe de chercheurs du département d'ingénierie de l'université d'Almeria a publié un rapport intitulé "Graphene Oxide Detection in Aqueous Suspension : Observational Study in Optical and Electron Microscopy". Les chercheurs ont utilisé la spectroscopie et l'analyse au microscope électronique pour évaluer le contenu des flacons du vaccin Covid.
À l'intérieur, ils ont trouvé des "doses énormes" de cette nanoparticule - chaque dose du vaccin Pfizer qu'ils ont examiné contenait environ 747 nanogrammes d'oxyde de graphène. Cela signifie que plus de 99 % du vaccin Pfizer était entièrement composé d'oxyde de graphène.
Comme je l'ai déjà partagé ici le 19 avril 2021, la fiche d'information de l'autorisation d'utilisation en urgence (EUA) indique que le vaccin Pfizer contient les ingrédients suivants :
- ARNm nucléosidique modifié codant pour la glycoprotéine de pointe virale (S) du SARS-CoV-2
- Lipide: (4-hydroxybutyl) azanediyl) bis (hexane-6,1-diyl) bis (2-hexyldécanoate)
- Lipide: 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine. [DSPC]
- Lipide: 2 – [(polyéthylène glycol) -2000] -N, N-ditétra-décylacétamide
- Lipide: cholestérol chlorure de potassium
- phosphate de potassium dihydrogéné
- chlorure de sodium
- hydrogénophosphate disodique dihydraté
saccharose
Cependant, la fiche d'information ne mentionne pas que la tablette contient un composé toxique, l'oxyde de graphène.
L'oxyde de graphène, qui est un matériau formé à partir du graphite, est connu pour provoquer une toxicité dose-dépendante. Ce composé peut provoquer des lésions hépatiques et rénales, stimuler la formation de granulomes dans les poumons, diminuer la viabilité des cellules et déclencher l'apoptose cellulaire ou la mort cellulaire préprogrammée.
La substance peut également provoquer des caillots sanguins car elle coagule le sang, et altère également le système immunitaire en perturbant l'équilibre oxydatif des réserves de glutathion de l'organisme.
En outre, des études sur les animaux ont montré que l'injection d'oxyde de graphène dans le corps dépose la substance toxique dans les poumons, le foie, la rate et les reins. Il serait également incroyablement difficile pour l'organisme de se débarrasser de cette substance.
Il a également été démontré que l'oxyde de graphène produit une fibrose pulmonaire, qui peut provoquer un cancer du poumon et une pneumonie.
Les chercheurs ont commencé à étudier les vaccins après l'apparition du phénomène du site d'injection magnétique, dont il existe des millions de vidéos dans le monde entier de personnes inoculées filmant des objets métalliques ou des aimants collés à leur site d'injection.
Ricardo Delgado, l'un des chercheurs, a déclaré : "Une fois que nous avons mené cette étude épidémiologique de base, nous avons commencé à nous demander quels matériaux ou nanomatériaux peuvent provoquer du magnétisme dans le corps. Et pas seulement le magnétisme, mais qui pourraient agir comme des condensateurs d'énergie car j'ai également mesuré dans un multimètre une charge importante."
Ricardo précise que l'équipe a également découvert que le magnétisme se déplace vers la tête, et qu'une différence de potentiel est mesurée avec un multimètre, que la personne devient un supraconducteur - c'est-à-dire qu'elle émet et reçoit des signaux.
Une fois que les chercheurs ont établi que certains matériaux peuvent provoquer ces altérations dans le corps, ils ont commencé à discuter du graphène comme coupable potentiel, car l'oxyde de graphène "présentait toutes les caractéristiques que les personnes magnétisées exprimaient après inoculation."
Ricardo a déclaré à Jose Javier Esparza sur le talk-show politique espagnol, El Gato al Agua : "Ce que nous avons découvert, c'est que le composant principal est précisément l'oxyde de graphène et en très petite quantité quelque chose d'autre. Mais avant tout, c'est l'oxyde de graphène.
"Étant donné que toutes les personnes qui se font inoculer le vaccin Pfizer, qui était celui que nous avons envoyé pour analyse ainsi que Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Janssen, Sinovac, et tous les types de vaccins acquièrent des propriétés magnétiques, nous soupçonnons avec de nombreux indices qu'ils contiennent tous des doses plus ou moins importantes d'oxyde de graphène."
Selon les chercheurs, ils ont non seulement découvert de l'oxyde de graphène dans les vaccins, mais aussi des quantités significatives de ce matériau dans des écouvillons utilisés pour l'amplification en chaîne par polymérase et les tests antigéniques - des tests censés être capables de détecter avec précision le Covid-19.
L'équipe a également trouvé le matériau toxique dans des masques de protection. Il est intéressant de noter qu'en avril 2021, le gouvernement canadien a exhorté le public à ne pas porter de masques contenant du graphène en raison de la possibilité que l'inhalation de ces nanoparticules "puisse présenter des risques pour la santé."
Bien sûr, aucune de ces recherches ne sera jamais couverte par les grands médias et sera plutôt présentée comme une "théorie du complot." Ce qui est de plus en plus inquiétant, c'est que les médias et le gouvernement continueront à prêcher les avantages du vaccin, tout en ignorant la liste des risques et des dangers qui semble s'allonger de jour en jour.
Vidéo du chercheur Ricardo Delgado
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