Armes biologiques, armes chimiques, interfaces cerveau-machine... et ce ne sont que les injections de Covid-19.
Les technologies interventionnelles peuvent être utilisées de manière à affecter directement le cerveau.
Dispositifs à énergie dirigée : Il est possible d'utiliser une certaine forme d'énergie dirigée pour influer sur la physiologie de façon périphérique et aussi sur la physiologie et la santé du cerveau.
Produits pharmaceutiques : Plus la spécificité du cerveau est comprise, à un niveau très granulaire, plus il est possible de dériver et de développer des types de médicaments spécifiques. Des médicaments qui peuvent non seulement améliorer et optimiser les performances des personnes, mais aussi être utilisés pour atténuer, combattre ou manifester des changements morbides profonds chez les personnes. D'autres médicaments peuvent être extrêmement spécifiques et peuvent être utilisés pour individualiser des armes dans ce qu'on appelle la "pathologie de précision" ou "l'effet de précision".
Neuromodulation transcrânienne : L'idée de passer à travers le crâne pour moduler l'activité du réseau nodal du cerveau afin d'optimiser, ou non, les performances d'individus clés dans certaines tâches.
BMI: De nombreux programmes de la DARPA impliquent des implants BMI. Le plus connu est le programme "Next-Generation Nonsurgical Neurotechnology" ("N3"). L'idée est de placer des électrodes de taille minimale dans un réseau à l'intérieur d'un cerveau par une intervention minimale pour permettre de lire et d'écrire dans le fonctionnement du cerveau en temps réel et à distance.
Produits biochimiques : Drogues, insectes, toxines et, de plus en plus, dispositifs susceptibles d'être utilisés comme armes. Les armes chimiques comprennent les médicaments et autres agents chimiques. Les armes biologiques comprennent les microbes et les toxines. Les dispositifs comprennent les neurotechnologies et les systèmes hybrides "cyborg" (drones biologiques).
Vous pouvez regarder l'intégralité de la conférence du Dr Giordano ICI.
Dans la même veine se trouve un clip vidéo de 2005 d'un briefing du Pentagone sur FunVax, un projet visant à développer un "virus" ou un "vaccin pour le fondamentalisme religieux". Ce clip démontre notamment que les produits pharmaceutiques étaient militarisés et opérationnels bien avant que la NAS et le NRC ne reconnaissent officiellement les technologies des sciences du cerveau comme "prêtes" en 2014.
L'idée que les produits pharmaceutiques et biochimiques sont utilisés comme des armes est très pertinente aujourd'hui avec le déploiement mondial de médicaments expérimentaux et dangereux de thérapie génique sous l'apparence de "vaccins Covid-19". Plus on en découvre à leur sujet, plus leur nature d'arme biologique et chimique est révélée.
L'arme biologique est la protéine spike modifiée par l'homme, dont l'ARNm ou l'ADN se trouve dans toutes les injections de Covid. Le composant de l'arme chimique est le graphène. Les résultats préliminaires d'une étude récente montrent que les injections de Covid contiennent des niveaux toxiques d'oxyde de graphène.
Il est difficile de comprendre pourquoi les gouvernements et les médias traditionnels ignorent complètement les dangers du graphène injecté aux personnes. Se pourrait-il que les injections de Covid servent un objectif supplémentaire ? Le graphène est hautement intégratif avec les cellules des neurones du cerveau et a le potentiel de transformer les cerveaux des personnes inoculées en émetteurs et récepteurs de signaux électriques ou d'informations. Pourrait-il s'agir d'une autre expérience, qui fait appel à la neurotechnologie : l'injection de nanosystèmes magnétiques auto-assemblés (BMI) ?
Nous ne connaissons peut-être pas encore toutes les réponses, mais ce ne peut être une coïncidence si l'Union européenne a lancé en 2013 deux projets phares : Human Brain Project et Graphene Flagship. Ce n'est pas non plus une coïncidence si la promesse essentielle de la technologie des interfaces cerveau-ordinateur est de permettre au cerveau de communiquer directement avec les ordinateurs.
À qui profite toute cette recherche, cette collecte de données et cette neurotechnologie ? De toute évidence, pas nous, les personnes qui possèdent "les cerveaux". Si l'on ajoute que les sciences du cerveau ont été militarisées pour évaluer le cerveau humain, y accéder et l'affecter, d'autres questions se posent : qui sont les "amis", qui sont les "ennemis" et qui décide ? Nos cerveaux SONT le champ de bataille de l'avenir et cet avenir est ici et maintenant !
Le livre de George Orwell est une parodie mais il a souvent proclamé que "1984" pourrait se produire si l'homme ne prenait pas conscience des assauts contre sa liberté personnelle et ne défendait pas son droit le plus précieux, le droit d'avoir ses propres pensées. Comme le montre un documentaire de la BBC de 2003, Orwell : A Life in Pictures, le dernier avertissement d'Orwell au monde était le suivant :
"Si vous voulez une image de l'avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain, pour toujours". La morale à tirer de cette dangereuse situation de cauchemar est simple : ne la laissez pas se produire. Cela dépend de vous."
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