« Vaccin » Covid : analyse du Dr Lee Merritt (2 février 2021) : Guerre 5.0, COVID19, "vaccins" à ARNm et suppression de l'hydroxychloroquine

 Source de l'article 

Interview du Dr Lee Merritt par Alex Newman sur la chaîne The New American.

La vidéo censurée sur YouTube est sur Odysee ici.


Transcription et traduction par moi. Douze heures de boulot. Merci de diffuser avec lien vers cette page.


Traduction

Alex Newman : Avez-vous l’impression qu’on utilise la médecine pour s’en prendre à nos libertés et ce coronavirus pour nous priver de nos droits? Vous n’êtes pas les seuls. Aujourd’hui, nous avons une invitée très spéciale. C’est le Dr Lee Meritt et sa biographie est très longue – nous pourrions y consacrer une demi-heure – aussi vais-je la parcourir rapidement.

Elle débute sa carrière médicale à l’âge de quatre ans, en accompagnant son père médecin lors de ses visites à domicile. Elle est membre à vie de l’Alpha Omega Alpha Honor Medical Society. Elle a été présidente de l’Association Américaine des Médecins et Chirurgiens (AAPS), une admirable association médicale. Elle a été membre du conseil d’administration de l’Arizona Medical Association. Sa biographie est vraiment incroyable. Médecin de formation classique, elle a obtenu son diplôme en médecine de la Faculté de Médecine et de Dentisterie de l’Université de Rochester. Elle a exercé en tant que chirurgienne orthopédique de la colonne vertébrale pendant 27 ans, elle a étudié les armes biologiques, elle a fait son stage au National Naval Medical Center de Bethesda, Maryland en médecine interne, puis elle a fait une résidence en chirurgie orthopédique au San Diego Naval Medical Center. Elle a exercé 10 ans en tant que chirurgien militaire dans de nombreux endroits. Elle a reçu la bourse Lewis Goldstein en chirurgie de la colonne vertébrale – la seule femme à l’avoir jamais reçue. Une biographie incroyable. Elle a été conférencière au Doctors for Disaster Preparedness – une conférence formidable, si vous ne la connaissez pas encore – et elle est en quelque sorte une libre penseuse. Alors, Dr Merritt, merci beaucoup d’avoir accepté d’être avec nous aujourd’hui.

Dr Lee Meritt : Eh bien merci, merci. Ce fut une semaine passionnante. Je reviens juste de Washington DC, alors…

Alex Newman : Oh, ça a dû être intéressant. Voudriez-vous nous livrer vos réflexions sur ce Covid et sur le fait qu’il semble que ce soit le prétexte idéal pour nous spolier de nos droits, fermer nos entreprises, détruire notre économie, nous priver de notre intégrité corporelle individuelle. Aujourd’hui, on parle de vaccins obligatoires. Que pensez-vous de ce Covid? Le virus justifie-t-il vraiment le niveau d’hystérie que nous voyons et l’expansion massive du pouvoir gouvernemental dont nous sommes témoins?

Dr Lee Meritt : En un mot, non. Pas du tout. Quand j’ai donné ma conférence en août au Doctors for Disaster Preparedness, le titre en était « Le SARS-Cov2 et la montée de la technocratie médicale ». On m’avait demandé d’y parler et j’avais eu une idée des années auparavant, sur laquelle j’avais planché tout ce temps – sous forme de conférence parce que je participe régulièrement à leurs symposiums – et ma conférence avait comme sujet la militarisation de la médecine.

Le problème, c’est qu’au moment où j’étais prête à donner cette conférence, j’ai dû l’adapter en temps réel parce que c’est réellement ce qui est arrivé. Ils ont plus ou moins fait ce que j’avais prévu, et je crois que nous sommes vraiment en guerre. Nous sommes dans une guerre sans restriction et non-conventionnelle, du type que les généraux militaires chinois décrivaient il y a 30 ans. Et je ne dis pas que seule la Chine est impliquée, mais elle en est l’acteur militaire frontal (NdT. le proxy).

Avant que tout cela se produise – alors que je n’y pensais qu’en théorie – j’avais réfléchi à l’évolution de la guerre au fil des siècles. Nous nous sommes d’abord battus à coups de massue, nous sommes ensuite passés à des batailles planifiées, puis – en tant qu’Américains – nous avons été les pionniers des tactiques de guérilla en tirant abrités derrière les arbres – ce que les Britanniques ont considéré alors comme un manque d’esprit sportif – et ainsi de suite. Mais de notre vivant, ce que j’appelle le conflit militaire 4.0 – un terme que j’ai inventé avant même d’entendre parler aujourd’hui de guerre de cinquième génération, mais c’est précisément ce dont il s’agit – la version 4.0 c’était quand nous combattions, par exemple Isis ou Al-Qaïda et que l’on pouvait déterminer l’identité de l’ennemi en se basant sur la Convention de Genève. Ils semblaient constituer une armée permanente, ils portaient des uniformes, ils avaient reçu une formation, ils utilisaient des tactiques de groupe et d’autres choses encore, mais on comprenait qu’on ne pouvait pas être sûrs à 100% de qui était l’ennemi, parce qu’on ne savait pas qui les finançait, qui leur envoyait des armes, qui assurait vraiment leur formation (NdT. en fait, si mais ceci est une autre histoire). Il y avait donc un déni plausible.

Mais que se passerait-il si on pouvait aller encore plus loin? Donc, ce que j’ai appelé – et ce que j’ai appris ensuite que d’autres personnes ont appelé – la guerre 5.0. Et s’il existait une arme si furtive que non seulement on ne saurait pas qui est l’ennemi mais on ne saurait même pas qu’on est attaqué? Ça aurait l’air naturel et ce que nous vivons maintenant, à mon avis, c’est ce genre de scénario. C’est ce qu’on a fait et – c’est encore ma réflexion personnelle, je ne l’ai lu nulle part – je sais comment on s’y est pris.

Il y a une chose que j’ai apprise – que j’ai trouvée toute seule – mais qui m’a ensuite été confirmée par un ingénieur taïwanais lors un vol de nuit. Il m’a expliqué que s’ils n’ont pas été gravement touchés par ce virus – ils ont tout de suite compris le problème – c’est parce qu’ils n’écoutent pas la propagande du Parti Communiste Chinois. Leurs nouvelles, ils ne les écoutent pas. Ils ont tout un département qui filtre leurs médias sociaux et lorsqu’ils voient quoi que ce soit se faire censurer, ils s’y intéressent. Ça doit être la vérité. Voilà une tactique qui pourrait nous être utile aujourd’hui en Amérique.

Dès le début février, j’ai pensé qu’il s’agissait d’une arme biologique parce qu’aussitôt que quiconque présentait des données en ce sens, il était censuré. Vous connaissez le vieil adage militaire, le pilote dit que lorsque vous essuyez des tirs, vous pouvez être certain d’avoir atteint la cible. Je pense donc – et nous n’avons pas le temps d’entrer ici dans le vif du sujet – je pense qu’il existe une foule de preuves qui montrent que le coronavirus est un virus naturel et très bénin qui ne provoque même pas un rhume à la majorité des gens. Au pire, ça vous donnera un rhume. Ça ne vous tuera pas, ça ne vous rendra pas très malade.

Mais ce qu’on en a fait, c’est l’utiliser comme moyen de transmission. Rappelez-vous la situation à l’époque où on est passés à l’ère nucléaire. C’était des armes difficiles à diffuser. On a dû les larguer sur les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki (Ndt. on a fait plus simple, on a utilisé des bombes incendiaires mais ceci est aussi une autre histoire). On devait les embarquer dans un avion. Aujourd’hui, le plus compliqué c’est la technologie de guidage des missiles. Dans le domaine des armes biologiques, nous en avons accumulé beaucoup au fil des ans. Celle qui m’inquiétait le plus était la variole. Mais certaines de ces armes biologiques – la plupart d’entre elles – sont soit difficiles à diffuser, soit il existe un traitement, ou quelque chose du genre. Le principal problème est leur diffusion.

Souvenez-vous de l’histoire de l’anthrax. Il a été diffusé dans des enveloppes, il est allé jusqu’au Congrès. L’anthrax est difficile à diffuser. Il est potentiellement mortel pour certaines personnes mais il est difficile à diffuser. Il faut donc concevoir un missile – et le missile est un coronavirus, une très petite particule, un virus hautement transmissible. Un masque n’en protègera pas, quoiqu’en dise la propagande. Inutile de se cacher derrière un petit écran en plastique, comme ceux qui coûtent trop cher aux entreprises. C’est extrêmement transmissible mais c’est très bénin.

Ensuite, on y ajoute ce qu’on pourrait appeler l’ogive. L’ogive est une petite protéine qu’on a intégrée au virus, qui se fixe aux voies ACE2 – les êtres humains ont ces voies ACE2. C’est génétiquement déterminé. Ce crochet qu’on a rajouté – qu’on appelle la protéine de pointe – peut alors pénétrer ces voies ACE2 et finira dans votre cœur, dans vos poumons, dans vos testicules, dans votre cerveau. Ça peut vous tuer.

Je pense que ce qui s’est passé – et nous pouvons en débattre – c’est que ça a été diffusé volontairement, mais je ne peux pas le prouver. Ça a été diffusé soit accidentellement, soit volontairement. Mais quoi qu’il en soit, lors de sa première diffusion, comme pour de nombreux virus, je pense qu’il était plus dangereux. La première génération était la plus meurtrière. Il est sorti, il a tué beaucoup de gens à Wuhan, il a tué des gens en Lombardie.

Je dis souvent : «On a un problème quand les médecins se mettent à mourir» et les médecins et les infirmières de Lombardie mouraient. Si nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes, nous avons un sérieux problème. C’est le moment de se réfugier dans sa cave – ce qui est d’ailleurs assez efficace! – mais alors fini de sortir boire une bière ou d’aller à l’épicerie. On ferme les entreprises et on rentre en guerre économique. Mais un véritable isolement, contre la variole par exemple, fonctionne.

Donc, il est d’abord arrivé en Lombardie, puis à New York – c’était probablement un virus de première génération – et il a tué pas mal de monde au début. Mais comme la plupart des virus – presque tous les virus que je connais, lorsqu’ils traversent un hôte humain – il s’est affaibli. C’est un avantage adaptatif. Si vous êtes le Napoléon des virus et que vous voulez conquérir le monde, vous ne tuez pas tous les hôtes que vous rencontrez. Sinon vous ne vous propagerez pas. Vous devenez donc moins mortel, plus transmissible et c’est ce qui s’est passé au fil du temps. C’est ma vision des événements à ce stade.

Mais ce qu’on a vu, c’est que dès que ce machin a circulé, il est devenu très facile d’en tirer parti. Comme je le dis, s’il s’agissait d’une diffusion volontaire, ça fait partie d’une opération de guerre planifiée. S’il s’agissait d’une libération accidentelle, c’est alors une guerre qui a été greffée sur cette libération accidentelle. Ce qu’ils en ont fait, c’est l’utiliser pour instaurer la peur. Et la peur est un instrument de manipulation psychologique incroyablement efficace.

[…] On a détruit notre économie, on a détruit une génération d’enfants avec ces masques ridicules, on nous nuit de toutes les manières imaginables. C’est maintenant devenu une opération psychologique. Les médecins comme moi ont appris d’autres choses, et je pense que ça n’avait pas été prévu. Nous n’avions rien à faire, nous étions enfermés, assis à la maison et que faire dans ce cas? Notre réaction c’est d’étudier. Nous en avons appris beaucoup.

J’ai ainsi découvert que nous disposions d’un traitement contre les virus depuis probablement la fin des années 1970. J’ai obtenu mon diplôme en médecine en 1980, donc je suis une vieille taupe mais mon fils a obtenu son diplôme beaucoup plus tard, tout récemment, et il est chirurgien général. Je lui ai demandé: « As-tu déjà entendu parler au cours de ta formation médicale – dans ta fraternité, dans tout ce que tu fais – du fait que nous pourrions traiter les virus avec ces agents antimicrobiens?  » Non, il n’en avait jamais entendu parler. J’ai appelé un ami en Floride, professeur de médecine interne depuis 40 ans, un vrai docteur en médecine. Je lui ai demandé: « As-tu déjà entendu dire que nous pourrions traiter les virus avec un agent antimicrobien? » Non, il n’en a jamais entendu parler. Voilà donc un énorme mensonge. J’ai tenté de publier un article avec ce titre, mais on m’en a fait changer en quelque chose dont je ne me souviens plus. Mais c’est sur le fait qu’on nous ment sur ce traitement depuis 40 ans.

[…] A propos de vaccins et compagnie, pourquoi y a-t-il des vaccins? On a fait des vaccins parce qu’il n’existait pas de traitement contre la variole. Il n’y en avait aucun et c’est une maladie très mortelle. Ça avait du sens d’avoir un vaccin. Au départ, il n’y avait pas de traitement contre la polio, il était donc logique d’avoir un vaccin. Mais, même sans rien faire, cette maladie [NdT. Le Covid] a montré 99,991% de chances de survie lors de la dernière saison virale – j’appelle ça une saison virale parce que ce n’est plus vraiment une saison grippale. En hiver, notre récente saison de l’horreur – même en comptant New York et le reste – c’était le taux de survie au niveau mondial. Par opposition à une saison de grippe virale standard, qui est de 99,992%. Vous voyez donc l’énorme différence. Donc, de un, ce n’est pas si mortel.

Mais de deux, nous disposons en fait d’un traitement qui fonctionne extrêmement bien. Malgré toute la propagande et toutes les tentatives de falsification de la littérature médicale, sur lesquelles ils se sont fait prendre la main dans le sac, et leur volonté de rejeter tout ce avec quoi ils ne sont pas d’accord, nous avons un traitement qui fonctionne vraiment. Vous me direz : « Pourquoi cacheraient-ils un traitement? » Je peux citer deux raisons. Premièrement, l’industrie des vaccins passe de 69 milliards de dollars à zéro si on dispose d’un traitement efficace contre toutes ces maladies virales transmises par aérosol. Donc les oreillons, la rougeole, bla bla bla, ça pourrait tout solutionner. Nous ne savons pas encore tout parce que…

Alex Newman : Vous voulez dire, la chloroquine et l’hydroxychloroquine.

Dr Lee Merritt : C’est exact, et l’ivermectine. Il y en a probablement d’autres. On les appelle « agents lysosomotropes ». Un de mes amis m’a appelé – c’est un anesthésiste initialement formé en Inde. Il était tellement enthousiaste qu’il m’a appelé en pleine nuit quand nous avons d’abord entendu parler de… avant que Trump ne dise quoi que ce soit. J’ai d’abord pensé qu’on ne voulait pas accepter cette idée parce que « Orange Man mauvais », et ils ne voulaient rien admettre de ce que Trump disait. Mais nous le savions avant ça et c’est beaucoup plus important que la simple personne de Trump.

Donc il m’a appelé et il m’a dit: « Je pense savoir comment ces choses fonctionnent ». Il a sorti son vieux manuel de maladies infectieuses et de biochimie d’Inde et il a compris. J’ai dit : « Bon, si c’est comme ça que ça marche, nous devrions pouvoir trouver d’autres médicaments ». Et puis j’ai trouvé le terme «agents lysosomotropes», je me suis mise à les rechercher et il s’avère qu’il y en a un certain nombre. Mais en fin de compte, pourquoi ne veut-on pas que vous le sachiez? Parce que l’industrie des vaccins à 69 milliards de dollars tomberait à zéro mais au-delà de ça, si nous sommes actuellement en guerre biologique dans le cadre de cette guerre multidimensionnelle, et si tout le monde se balade avec un traitement dans la poche, on ne peut plus vous terroriser avec des virus et ça c’est fondamental.

Selon la façon dont a été conçu cet truc expérimental – qui n’est vraiment pas un vaccin mais quel que soit le nom qu’on leur donne, le vaccin Pfizer, le vaccin Moderna, le machin ARN – il n’empêche pas la transmission, de leur propre aveu. Et même si c’était le cas, il est créé pour n’agir que sur la partie ogive de ce bricolage, la protéine de pointe. Donc, l’année prochaine, ces gens et ces armes biologiques… Une des choses que j’ai malheureusement apprises, c’est qu’il y a de ces bio-armateurs (NdT. spécialistes en armes biologiques) partout dans ce pays et que nous les avons littéralement financés.

Pensez-y: nous avons financé un virologue de l’APL pour qu’il vienne travailler dans notre laboratoire militaire d’armes biologiques. C’est le comble de la folie ou de la trahison.

Alex Newman : Et l’APL est l’Armée Populaire de Libération, pour ceux qui ne la connaissent pas. C’est la Chine communiste.

Dr Lee Merrit : C’est exact. Sous l’administration Clinton, il était d’ailleurs totalement illégal d’accueillir des étudiants étrangers non-alignés. Donc, ceux qui venaient d’Iran ou d’un endroit qui n’était pas l’un de nos alliés ne pouvaient même pas travailler dans un laboratoire de biologie qui travaillait sur des agents pathogènes de moindre intensité – n’importe quel agent pathogène pouvant être utilisé comme arme biologique. Nous sommes donc soudainement passés de cette position sous l’administration Clinton à, sous l’administration Obama, un financement effectif de virologues communistes chinois de l’APL pour leur permettre de travailler dans nos laboratoires d’armes biologiques. C’est de la folie absolue.

J’ai découvert l’existence de ces gens – nous avons plus de bio-armateurs que je ne l’avais imaginé. Je savais que les Soviétiques en avaient et qu’ils étaient probablement présents ici, mais j’ignorais combien il y en avait dans le monde au total. Ces gens peuvent donc maintenant créer autre chose à greffer sur ce coronavirus. Maintenant qu’ils ont la technologie des missiles, ils peuvent y mettre tout ce qu’ils veulent et chaque année il faudrait avoir un vaccin différent. Donc, même si vous pensez que ce type de vaccin fonctionne – ce que je ne crois pas – ce n’est pas une solution permanente. Les virus sont présents partout autour de nous, ils font partie de la nature. Nous avons vécu avec eux pendant des millénaires, nous vivrons encore – si nous survivons à tout cela, j’espère – quelques millénaires avec eux. Mais nous devons disposer d’une solution qui n’implique aucun vaccin d’aucune sorte et nous avons ces solutions : nous avons le traitement et nous avons la prévention. L’hydroxychloroquine et la chloroquine sont non seulement efficaces comme traitement, mais ils le sont comme moyen de prévention.

L’autre aspect à améliorer c’est votre propre système immunitaire, par la prise de suppléments. Big Pharma aimerait mieux pas, mais c’est vraiment sans appel! Quand je me suis retrouvée assise chez moi, à devenir dingue devant mon ordinateur, je filais des coups de pied à mon écran en disant: « Avec tous les milliards de dollars que nous payons au CDC, pourquoi ne font-ils aucune recherche sur les gens qui tombent vraiment, vraiment malades et qui meurent? » Parce que, vous l’aurez remarquez, on a vu une distribution bimodale : il y a tous ceux qui s’en sont sortis indemnes. La plupart des gens, plus de 90%, n’en sont jamais vraiment tombés malades. Ils tombent légèrement malades ou ils ont un épisode grippal mais ils s’en sortent.

Et puis, on a vu un très petit pourcentage de personnes entrer aux soins intensifs et ceux qui en sont morts. Qui sont ces gens? Le CDC, malgré tout cet argent, n’a jamais enquêté ou ils ne nous l’ont pas dit. Mais les Indonésiens l’ont fait et ils ont examiné […] divers facteurs. Le plus important c’est le niveau de vitamine D. S’il est supérieur à 30, les risques de finir aux soins intensifs sont inférieurs à quatre pour cent – des malades hospitalisés donc beaucoup moins si on considère l’ensemble de la population. Donc, le mieux à faire est d’augmenter son taux de vitamine D, ce que le soleil seul ne permet pas.

C’est ma vision globale et je pense que tout cela fait partie d’un projet de démantèlement de l’Amérique.

Alex Newman : C’est absolument fascinant, Dr Merritt. C’est drôle, sans être un professionnel de la santé, sans avoir lu toute la littérature, j’en suis arrivé à des conclusions similaires simplement en lisant avec discernement ce qui était publié dans la presse.

J’aimerais approfondir un peu plus cette histoire de vaccins. C’est un sujet brûlant. Hier encore, Biden – nous enregistrons le jeudi 14 janvier – hier encore, Biden a publié un tweet indiquant qu’il veillerait à ce que chaque Américain reçoive ce vaccin. Je me suis dit, oh! est-ce que ça veut dire moi aussi? Avez-vous des inquiétudes quant à la sécurité de ce vaccin et le recommanderiez-vous à vos patients dans votre pratique médicale? Cela dépendrait-il de leur profil de risque? Qu’en pensez-vous?

Dr Lee Merritt : J’ai beaucoup d’inquiétudes, dont la moindre n’est pas le manque d’intégrité et la turpitude morale de la profession médicale, car nous ne forçons jamais les gens à suivre un traitement médical. Et peu importe comment on le considère, recevoir un vaccin de quelque nature que ce soit, que ce soit un vaccin contre la grippe ou celui-ci, constitue un traitement médical. Personne ne devrait y être contraint ou forcé. Et au fait, c’est la raison pour laquelle nous avons pendu des médecins après la Seconde Guerre mondiale en Allemagne, pour avoir violé ce principe. Nous ne devrions pas le faire.

Concernant la question de la sécurité, je dis toujours aux gens : « Je ne vous dirai pas de vous faire vacciner ou non. Vous devez prendre cette décision vous-même, mais pour ça il vous faudrait pouvoir donner un consentement éclairé. » Et là où ça devient vraiment grave, c’est que celui qui publie la notice d’un vaccin sur son Facebook peut voir son compte supprimé. Gardons donc à l’esprit que nous n’avons pas de consentement éclairé. Nous pourrions penser que nous l’avons. Nous ne l’avons pas.

Pour résumer cette histoire de ces vaccins, ce sont des produits biologiques expérimentaux que je n’appellerais même pas des vaccins. Classiquement, le fonctionnement des vaccins est le suivant : on cultive des agents pathogènes – disons ceux de la rougeole – on cultive la rougeole dans une cuve ou dans des œufs et on en prélève ensuite une partie et on la rend moins virulente, on l’atténue , on l’affaiblit – il existe différentes façons d’y arriver. Puis on l’injecte aux patients et leur propre système immunitaire, qui voit ce pathogène affaibli, y réagit juste assez pour en garder la trace dans sa mémoire immunologique. Lorsqu’ils y sont exposés la fois suivante, ils l’ont mémorisé et théoriquement, ils peuvent mieux réagir. C’est ce que fait votre vrai corps quand il tombe malade sans tout ce processus de vaccination. Vous tombez malade d’un virus, vous obtenez la plupart du temps une immunité parfaite à vie et c’est réglé une fois pour toutes.

Mais en quoi ceci est-il différent? On ne vous donne pas un agent pathogène ou un morceau d’agent pathogène ou un petit morceau avec un adjuvant, qui est un produit chimique destiné à faire réagir davantage votre système immunitaire. Ce qu’on fait, c’est programmer de l’ARNm – l’ARNm est un petit élément comme l’ADN – c’est-à-dire de l’ARN messager. C’est celui qui contrôle la fabrication des protéines dans le corps. C’est un peu comme une puce informatique qu’on mettrait dans une imprimante 3D, qui lui dira ce qu’elle doit imprimer – ça existe en ingénierie et c’en est l’équivalent biologique. Je fabrique de l’ARNm qui dit au corps de produire certaines choses. Dans ce cas, on a fabriqué un morceau de cet ARNm pour faire fabriquer par chaque cellule de votre corps cette protéine de pointe, du moins une partie de celle-ci. C’est donc vous qui créez le pathogène dans votre corps. C’est là que ça devient très flou – cette protéine de pointe sera créée en quelle quantité? Je ne sais pas où trouver l’information – mais je suis sûr que quelqu’un le sait.

Le problème est apparu lors des études sur les animaux. Il y a eu quatre vaccins différents et trois études animales différentes, à ma connaissance. Chez les furets, chez les chats – les chats ont une lien naturel avec le coronavirus. C’étaient des chats, des furets et encore autre chose. Ils ont commencé après le SRAS, avec des tests sur des chats, puis après le MERS – qui sont tous deux provoqués par des coronavirus pathogènes plus mortels – ils l’ont essayé sur des furets et autre chose. Ce qui s’est passé, c’est que tous les animaux sont morts. Pas soudainement, ils ne sont pas morts du vaccin. Ils sont morts de ce qu’on appelle renforcement immunitaire, ou renforcement induit par les anticorps, ou renforcement dépendant des anticorps. On appelle ça aujourd’hui ADE (antibody dependent enhancement), mais ça s’appelait avant renforcement immunitaire. Voici ce qui se passe : on fabrique l’ARN, on prépare le vaccin, ils reçoivent le vaccin et ils vont bien. Ensuite, on inocule à l’animal le virus contre lequel il est censé être vacciné. Quand on a inoculé le SRAS à ces chats, au lieu de tuer le virus ou de l’affaiblir, la réponse immunitaire orientée qu’on avait intégrée à leur système, s’est activée et a enrobé (NdT. « coated ») le virus. Ainsi, le virus est entré dans le corps du chat comme un cheval de Troie, invisible pour le système immunitaire du chat. Et puis il s’est répliqué sans aucune retenue et a tué le chat par septicémie galopante et insuffisance cardiaque. Même chose pour les furets, c’est arrivé chaque fois qu’on a fait ce test.

Permettez-moi de souligner qu’on a jamais obtenu de résultat positif lors des études sur les animaux pour ce type de virus. On en a jamais réalisé sur les humains. Du moins, nous n’en avons jamais réalisé. Peut-être que les Chinois l’ont fait et j’en parlerai dans une seconde. Mais c’est la raison pour laquelle nous n’avons pas vraiment de bilan positif. Ce vaccin a été déployé dans les centres de distribution avant même qu’ils fassent semblant de s’inquiéter de son approbation par la FDA. Vous comprenez ce que je dis? Qu’il a été distribué – dans le Nebraska, je le sais – qu’il était déjà dans le centre de distribution quelques jours avant que la FDA n’annonce qu’elle allait l’approuver!

QUOI?!

Je n’avais jamais vu rien de tel se produire. Et la plus longue période d’observation de ceux qui ont reçu le vaccin, c’est deux mois. Vous comprenez que ce n’est pas assez longtemps pour savoir si ce problème de renforcement des anticorps se posera ou non.

Et je voudrais exposer ceci d’un point de vue militaire. C’est l’arme binaire parfaite. Je n’ai aucun moyen de savoir exactement pour quel rôle cet ARNm est programmé, vous non plus et la plupart des médecins non plus. Les médecins n’ont aucun accès à ces données. Les personnes au sommet de la hiérarchie de ce projet, oui. Ils savent mais nous ne savons pas. Ils disent qu’il a été conçu par rapport à la protéine de pointe, mais comment le prouver? On n’en sait rien. Si j’étais en Chine et que je voulais décimer nos militaires, ce serait simple. Je ferais exactement tout ce que nous avons observé. Je fabriquerais quelque chose que j’accrocherais à ce coronavirus, comme la protéine de pointe ou une autre protéine. Et puis je fabriquerais un ARNm contre ça, mais comme celui-ci n’existe pas dans la nature, personne ne mourra du vaccin. Et puis deux ans plus tard je libère le truc que j’ai en réserve, la contrepartie. Qui provoquera la mort par renforcement immunitaire. C’est donc une mort différée. C’est ce que font les poisons binaires. Ils fonctionnent à retardement. Je vous donne la première partie, je m’éclipse, puis vous entrez accidentellement en contact avec la deuxième partie et vous mourez. Et c’est impossible à tracer.

Alex Newman : Et ce n’est pas une menace hypothétique. Il y a eu une fuite depuis Shanghai d’une liste de membres du Parti Communiste Chinois. Des centaines d’entre eux travaillaient chez Pfizer, AstraZeneca et GlaxoSmithKline, les entreprises qui fabriquent ces vaccins. C’est absolument terrifiant.

Dr Lee Merritt : Nous devrions donc leur faire confiance. Ils agissent dans notre meilleur intérêt.

Alex Newman : Quelle est la suite, Dr Merritt? Pour les minutes qui nous restent, dites-nous vos inquiétudes quant à ce qui se profile à l’horizon? J’ai parlé à des médecins. Ils disent que nous allons sans doute avoir un Covid 2021, ou quelque chose d’équivalent. Ils parlent de cette mutation du coronavirus qui est censée être 70 fois plus virulente. Je ne sais même pas ce que ça veut dire. Je ne sais pas comment on mesure …

Dr Lee Merritt : Je peux vous l’expliquer. C’est celui de la Grande-Bretagne. Ne vous inquiétez pas, c’est de la menue monnaie. Ce qu’on raconte, c’est que c’est plus transmissible. C’est comme si je vous disais que je roulais à 95 sur l’autoroute mais que je suis passée à 97. Ne vous inquiétez pas pour ça. La transmissibilité on s’en fiche. C’est déjà tellement transmissible que ça ne fait qu’une très petite différence. Ce n’est pas le problème. C’est la létalité qui devrait nous inquiéter et de ça on ne parle pas.

On pourrait nous balancer autre chose, mais encore une fois, si on balance quelque chose qui est basé sur ces virus aéroportés comme le corona, nous disposons d’un traitement, qui est l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. Alors pourquoi sont-ils aussi acharnés?

Ce que nous devons faire c’est reprendre notre monde des mains des salauds de la virologie, en assurant un approvisionnement en ivermectine ou en hydroxycloroquine. Maintenant, vous remarquerez que deux – quelles sont les chances? – deux usines d’hydroxychloroquine ont été incendiées. On nous dit : « Oh non, ce n’étaient pas des usines d’hydroxychloroquine ». Non, ils fabriquaient les précurseurs de l’hydroxychloroquine. On nous ment en permanence.

Ce que nous devons faire, c’est résister. Je suis fière de dire que le gouverneur Ricketts du Nebraska est l’un des cinq gouverneurs à ne pas restreindre l’usage de l’hydroxychloroquine de quelque manière que ce soit (NdT. Certes, mais il participe à l’effort de « vaccination »). Tout le monde doit exiger de son gouverneur qu’il cesse de signer ce qui émane des universités médicales toutes payées par Fauci et le NIH (National Institute for Health). Finissons-en et donnons à notre peuple la capacité de se défendre. On nous dit : « Il y a des missiles en route mais les sacs de sable sont interdits, les caves sont interdites, les abris anti-bombes sont interdits. » Non, ce n’est pas juste. Vous avez le droit de vous défendre. Les médecins doivent prendre conscience de ce qui constitue cette défense. Nous devons cesser de mentir sur cette défense et nous devons dire aux gens qu’il y a cinq ou six choses à avoir. J’ai un petit kit Covid à mon bureau. C’est du NAC, de la vitamine C, de la vitamine D, du zinc, du sélénium et de la quercétine – six choses. Si vous faites ça, vous améliorez votre réponse immunitaire, votre propre capacité à lutter et à ne pas tomber gravement malade.

Il est possible qu’ils reviennent à l’attaque avec des choses plus dangereuses à l’avenir. Nous aurons besoin de plus que ça. C’est pourquoi nous devons révéler la vérité. Il faut faire savoir qu’il existe un traitement et que les patients ne le reçoivent pas, ce qui est tragique. Les patients ont peur d’aller à l’hôpital parce qu’ils savent qu’ils n’obtiendront pas le bon traitement. C’est triste. Je voudrais sur ce point m’adresser aux médecins. Je comprends que si vous êtes en formation et que vous ne pouvez pas parler, vous êtes coincé. Je ne vous en veux pas, je blâme ceux qui sont au-dessus de vous – les gens qui prennent l’argent de Fauci, les gens qui prennent l’argent du NIH, qui sont prêts à prendre cet argent, à pousser le Remdisivir et à tuer des gens. Non pas qu’ils les tuent nécessairement avec le Remdisivir, mais ils les tuent en omettant un traitement précoce en ambulatoire, un traitement qui fonctionne.

Et les médecins de base, ceux qui ne sont pas formés, doivent prendre une décision morale. Parce que nous devrions faire de la prophylaxie dans les maisons de retraite. Nous pourrions sauver des vies pour cinq dollars par semaine. Nous pourrions sauver beaucoup de ces personnes âgées. Mais on ne veut pas le faire. Ils ne sont pas considérés comme contributifs à la société. C’est comme ça que les Nazis raisonnaient. Des gens qui ne sont pas dignes de vivre. Il va falloir surmonter ça, vous les médecins qui faites le choix de vous taire parce que vous avez une hypothèque, parce que vous avez deux enfants et que vous ne voulez pas perdre votre salaire universitaire. Il est temps de repenser votre position. Je pense que tout le monde dans la communauté médicale le doit. Nous avons besoin d’hommes courageux et honnêtes. Les informations sont disponibles. Ne me dites pas qu’il n’y a aucune preuve. On vous ment au sujet des preuves. Si vous faites vraiment un effort, sur Internet, vous trouverez les preuves. Et sinon, vous pouvez aller à – je suis un médecin de première ligne (NdT. frontline doctor) – vous pouvez aller à America’s Frontline Doctors, aflds.com. Vous pouvez vous rendre à l’association de l’AAPS, aapsonline.org, l’Association Américaine des Médecins et Chirurgiens. Et de nombreuses autres organisations prennent la parole maintenant.

Alex Newman : Excellent. Dr Merritt, c’est la dernière chose que j’allais vous demander. Des sites Web que les gens devraient visiter? L’Association Américaine des Médecins et Chirurgiens qui est un groupe phénoménal, les Médecins de Première Ligne. Avez-vous d’autres groupes et quelques paroles sages pour nous, Dr Merritt?

Dr Lee Merritt : Il y a la Déclaration de Barrington, et il y en a tellement d’autres. Si vous allez sur des sites alternatifs, sott.net a beaucoup de bons articles. Je dirais que si vous voulez sortir de la pandémie tout de suite, c’est vraiment facile. Vous éteignez votre téléviseur, vous enlevez votre masque, vous rouvrez votre entreprise et vous vivez votre vie. Vous embrassez vos proches, vous allez voir vos vieux parents et vous organisez des fêtes de quartier. Parce que nous ne pouvons pas vivre dans une cave. Même si vous pensez que les masques fonctionnent, ne faites pas ça à vos enfants. Pendant combien de décennies allez-vous faire ça? Chaque hiver, chaque année derrière un masque désormais? Non, je ne le ferai pas.

Alex Newman : Amen.

Dr Lee Merritt : Les masques ne fonctionnent pas.

Alex Newman : Dr Merritt, merci beaucoup de nous avoir consacré votre temps. Merci d’avoir partagé vos extraordinaires éclaircissements. Mes amis, c’est le Dr Lee Merritt, veuillez partager cette vidéo. Vous savez aussi bien que moi, elle ne restera probablement pas très longtemps sur YouTube ou sur Facebook. Alors les amis publiez-la, envoyez-la à vos amis, à vos proches, à votre liste de diffusion, partagez-la sur des plateformes de médias sociaux alternatives. Cette information est absolument essentielle, mes amis. Des vies sont en jeu, notre liberté est peut-être en jeu. Alors aidez à diffuser ces informations, visitez ces sites Web et partagez-les avec tous ceux que vous connaissez. Dr Merritt, merci encore.

Mes amis, merci d’avoir regardé et que Dieu vous bénisse tous.



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